Voici les paroles de la chanson : Solemn Show World , artiste : Parts & Labor Avec traduction
Texte original avec traduction
Parts & Labor
I remember I recall frozen streets and ice and white and blue
Detritus of last night’s songs, toes so numb I wish the day were through
I’m never now but here somehow the details starkly true
This room could be off any hall that window open bright to any view
Still I strain to take it all in, colors all at once many and few
A blander panorama bleached by pasts that I once knew
Slender February pall no our fenders icicles that grew
Morning churns hungover calls operators standing by for you
The weather dropping off the walls, I’m buried like the truth
Wires tangled up they crawl through the trees that camouflage their ruse
Single cliche raven caws savoring the metaphors abused
The innocence, the wait involved before that black bird flew
Cancel out this awkward pause, a pseudo system shiftily pursued
Sitting on a couch in thaw at the mercy of mistakes accrued
A somewhere like the others sorely lacking in the new
And the droning of commuter cars
Hollow diners empty bars
A solemn show world offs itself for you
Escape the house that looks like all the others in a sinking mass produced
Towns as wide as they are tall shrinking in a dwindling debut
I’ve left it now but still somehow
I’m sitting there eroding stare
The blanket’s cold
Je me souviens, je me souviens des rues gelées et de la glace et du blanc et du bleu
Détritus des chansons d'hier soir, orteils si engourdis que j'aimerais que la journée soit finie
Je ne suis jamais maintenant mais ici d'une manière ou d'une autre, les détails sont tout à fait vrais
Cette pièce peut se trouver dans n'importe quel couloir dont la fenêtre s'ouvre sur n'importe quelle vue
Pourtant, je m'efforce de tout absorber, les couleurs à la fois beaucoup et peu
Un panorama plus fade blanchi par des passés que j'ai connus
Slender février pall no nos glaçons d'ailes qui ont poussé
Les baratteurs du matin appellent les opérateurs à votre écoute pour la gueule de bois
Le temps tombe des murs, je suis enterré comme la vérité
Les fils emmêlés ils rampent à travers les arbres qui camouflent leur ruse
Un seul cliché corbeau croasse savourant les métaphores abusées
L'innocence, l'attente impliquée avant que cet oiseau noir ne vole
Annulez cette pause gênante, un pseudo-système poursuivi de manière sournoise
Assis sur un canapé en dégel à la merci des erreurs accumulées
Un quelque part comme les autres qui manque cruellement de nouveauté
Et le bourdonnement des voitures de banlieue
Diners creux bars vides
Un monde de spectacle solennel s'offre à vous
Échappez-vous de la maison qui ressemble à toutes les autres dans un naufrage produit en masse
Des villes aussi larges que hautes rétrécissent dans un premier temps décroissant
Je l'ai laissé maintenant mais toujours d'une manière ou d'une autre
Je suis assis là, érodant le regard
La couverture est froide
Chansons en différentes langues
Traductions de haute qualité dans toutes les langues
Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes