Voici les paroles de la chanson : Sonnet 73 , artiste : Paul Kelly Avec traduction
Texte original avec traduction
Paul Kelly
That time of year thou may’st in me behold
When yellow leaves, or none, or few, do hang
Upon those boughs which shake against the cold,
Bare ruin’d choirs, where late the sweet birds sang.
In me thou see’st the twilight of such day,
As after sunset fadeth in the west,
Which by-and-by black night doth take away,
Death’s second self, that seals up all in rest.
In me thou see’st the glowing of such fire
That on the ashes of his youth doth lie,
As the death-bed whereon it must expire
Consum’d with that which it was nourish’d by.
This thou perceivest, which makes thy love more strong,
To love that well which thou must leave ere long.
Cette période de l'année tu peux en moi voir
Lorsque les feuilles jaunes, ou aucune, ou peu, pendent
Sur ces branches qui tremblent contre le froid,
Des chœurs nus en ruine, où chantaient tard les doux oiseaux.
En moi tu vois le crépuscule d'un tel jour,
Alors qu'après le coucher du soleil s'estompe à l'ouest,
Que bientôt la nuit noire emporte,
Le second soi de la mort, qui scelle tout dans le repos.
En moi tu vois la lueur d'un tel feu
Qui repose sur les cendres de sa jeunesse,
Comme le lit de mort sur lequel il doit expirer
Consommée avec ce dont elle s'est nourrie.
Ce que tu perçois, qui rend ton amour plus fort,
Aimer ce bien que tu dois quitter avant longtemps.
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