Sonnets 44 and 45 - Paul Kelly
С переводом

Sonnets 44 and 45 - Paul Kelly

  • Альбом: Seven Sonnets & A Song

  • Année de sortie: 2016
  • Langue: Anglais
  • Durée: 3:11

Voici les paroles de la chanson : Sonnets 44 and 45 , artiste : Paul Kelly Avec traduction

Paroles : Sonnets 44 and 45 "

Texte original avec traduction

Sonnets 44 and 45

Paul Kelly

Оригинальный текст

If the dull substance of my flesh were thought,

Injurious distance should not stop my way;

For then despite of space I would be brought,

From limits far remote where thou dost stay.

No matter then although my foot did stand

Upon the farthest earth removed from thee;

For nimble thought can jump both sea and land

As soon as think the place where he would be.

But ah!

thought kills me that I am not thought,

To leap large lengths of miles when thou art gone,

But that so much of earth and water wrought

I must attend time’s leisure with my moan,

Receiving nought by elements so slow

But heavy tears, badges of either’s woe.

The other two, slight air and purging fire,

Are both with thee, wherever I abide;

The first my thought, the other my desire,

These present-absent with swift motion slide.

For when these quicker elements are gone

In tender embassy of love to thee,

My life, being made of four, with two alone

Sinks down to death, oppress’d with melancholy;

Until life’s composition be recured

By those swift messengers return’d from thee,

Who even but now come back again, assured

Of thy fair health, recounting it to me:

This told, I joy;

but then no longer glad,

I send them back again and straight grow sad.

Перевод песни

Si la substance terne de ma chair était pensée,

La distance préjudiciable ne doit pas arrêter mon chemin ;

Car alors, malgré l'espace, je serais amené,

Des limites lointaines où tu restes.

Peu importe alors même si mon pied s'est tenu debout

Sur la terre la plus éloignée de toi;

Car une pensée agile peut sauter à la fois sur la mer et sur la terre

Dès que pensez à l'endroit où il serait.

Mais ah !

la pensée me tue que je ne sois pas pensé,

Sauter de grandes longueurs de miles quand tu es parti,

Mais que tant de terre et d'eau ont forgé

Je dois assister aux loisirs du temps avec mon gémissement,

Ne rien recevoir par des éléments si lents

Mais des larmes abondantes, signes du malheur de l'un ou de l'autre.

Les deux autres, air léger et feu purgatif,

Sont tous deux avec toi, où que j'habite ;

La première ma pensée, l'autre mon désir,

Ces présents-absents avec un mouvement rapide glissent.

Pour quand ces éléments plus rapides sont partis

En tendre ambassade d'amour pour toi,

Ma vie, étant faite de quatre, avec deux seuls

Tombe jusqu'à la mort, oppressé par la mélancolie ;

Jusqu'à ce que la composition de la vie soit régénérée

Par ces rapides messagers revenus de toi,

Qui même mais maintenant revient encore, assuré

De ta bonne santé, me la racontant :

Cela dit, je joie ;

mais alors je ne suis plus content,

Je les renvoie à nouveau et je deviens tout de suite triste.

Plus de 2 millions de paroles

Chansons en différentes langues

Traductions

Traductions de haute qualité dans toutes les langues

Recherche rapide

Trouvez les textes dont vous avez besoin en quelques secondes