Beans, Bacon & Gravy - Pete Seeger

I was born long ago, in eighteen ninety four

I’ve seen many a panic I will own

I’ve been hungry, I’ve been cold, and now I’m growin' old

But the worst I’ve seen is nineteen thirty one

Oh those beans, bacon and gravy

They almost drive me crazy

I eat them 'til I see them in my dreams

In my dreams

When I wake up in the morning

And another day is dawning

I know I’ll have another mess of beans

Well we congregate each morning, at the county barn at dawning

Everyone is happy so it seems

But when our day’s work is done, and we pile in one by one

And thank the Lord for one more mess of beans

We’ve Hooverized on butter, and for milk we’ve only water

And I haven’t seen a steak in many a day

As for pies, cakes and jellies, we substitute sour bellies

For which we work the county road each day

If there ever comes a time, when I have more than a dime

They will have to put me under lock and key

For they’ve had me broke so long, I can only sing this song

Of the workers and their misery

Je suis né il y a longtemps, en 1894

J'ai vu de nombreuses paniques que je posséderai

J'ai eu faim, j'ai eu froid, et maintenant je vieillis

Mais le pire que j'ai vu, c'est 1931

Oh ces haricots, bacon et sauce

Ils me rendent presque fou

Je les mange jusqu'à ce que je les voie dans mes rêves

Dans mes rèves

Quand je me réveille le matin

Et un autre jour se lève

Je sais que je vais avoir un autre gâchis de haricots

Eh bien, nous nous rassemblons chaque matin, à la grange du comté à l'aube

Tout le monde est heureux donc il semble 

Mais quand notre journée de travail est terminée et que nous nous entassons un par un

Et remerciez le Seigneur pour un autre gâchis de haricots

Nous avons Hooverisé sur le beurre, et pour le lait, nous n'avons que de l'eau

Et je n'ai pas vu de steak depuis plusieurs jours

En ce qui concerne les tartes, les gâteaux et les gelées, nous substituons les ventres aigres

Pour lequel nous travaillons chaque jour sur la route départementale

S'il arrive un moment où j'ai plus d'un centime

Ils devront me mettre sous clé

Car ils m'ont brisé si longtemps, je ne peux que chanter cette chanson

Des travailleurs et de leur misère