Archaen Divinity - Pillorian

Through dust of ages, burned into ashes of the seer

The voice of an ancient echo travels across the astral plane

Before the mark of time, before the origin of life

What was and what shall be again meet at the crossroad of the divine

Washed in anguish, cloaked in shadowed ancestry

We stand in duality and await the arrival of the triad

Infinity arrived before us on a steed of morbid decay

And cast down on our plight, a looming desecration

He is the third, the triumvirate, his journey ends here

In our temple of atavistic separation

His mare of centuries bows and falls from its bones

Into a pile of dry flesh, scoria and sinew

We are but heretics watching from the edge of the ruins

Our maligned veil enshrouds the world below

Through the corridors tide, before the light revealed our silent woe

A pleasant stillness that suffering could only reward

We drag the gods behind us, they perished grasping our cloaks

The serpent’s venom spat upon and joined the ranks of the fallen steed

We are but travelers in a lost aeon

A new dark age of malice… and divinity

À travers la poussière des âges, brûlé en cendres du voyant

La voix d'un ancien écho voyage à travers le plan astral

Avant la marque du temps, avant l'origine de la vie

Ce qui était et ce qui sera à nouveau se rencontrent au carrefour du divin

Lavé dans l'angoisse, recouvert d'une ascendance ombragée

Nous nous tenons dans la dualité et attendons l'arrivée de la triade

L'infini est arrivé avant nous sur un cours de dégradation morbide

Et abattre notre sort, une profanation imminente

Il est le troisième, le triumvirat, son voyage se termine ici

Dans notre temple de la séparation atavique

Sa jument des siècles s'incline et tombe de ses os

Dans un tas de chair sèche, de scories et de tendons

Nous ne sommes que des hérétiques observant depuis le bord des ruines

Notre voile calomnié enveloppe le monde d'en bas

À travers la marée des couloirs, avant que la lumière ne révèle notre malheur silencieux

Une immobilité agréable que la souffrance ne pouvait que récompenser

Nous traînons les dieux derrière nous, ils ont péri en saisissant nos manteaux

Le venin du serpent a craché dessus et a rejoint les rangs du coursier tombé

Nous ne sommes que des voyageurs dans un éon perdu

Un nouvel âge sombre de malveillance… et de divinité