Voici les paroles de la chanson : Ни шагу назад , artiste : Pra(Killa'Gramm) Avec traduction
Texte original avec traduction
Pra(Killa'Gramm)
Ни шагу назад, вывози за базар!
В городе нищеты и казарм нас уложат в казан.
Каким бы не был *издатым, все равно на низах.
Chicago, Killa, банзай финтим по*изже Азара.
Кем бы я стал, сынуля, выбрав другую шахту?
В другую яму бы прыгнул, других бы сук *рахнул.
Сейчас сижу на кухне под бит, и не жду завтра.
Жму руки от души тем, кто от Бога автор.
Давай, ищи нас там, где и в помине нет.
Там, где щелкнет хвостом твой *банный мент.
Бинт на руку, на маршрутку пару монет.
Боже, убереги от бед и ставок на Фонбет.
Я беден, но не душой, и не бледен *балом.
Переградку в носу ломали и что ривалом.
Не стремно получить в лицо, стремно стоять, как даун.
Вставай и падай, валяется здесь только падаль.
Как *бучий отшельник — я отращу бороду,
Сбрею ее без повода, и съ*бу из города.
Может в Калик, по старинке, или куда подалее.
Прыгнешь в попутку, там у водилы под передним палево.
Выдохся, как маркер, меня заправили снова.
Х**сошу жизнь, но все равно ее Лова-Лова.
Чикаго — город боли, шмар, дури и алкоголя;
Где на раз в субботу сломлена железная воля.
Парни под круглыми боятся садиться за руль.
Звонок на трубках: «Я на брусьях, еду к вам, а *ули?»
Я чувствую этот город, пропах им до костей.
Здесь я родился, здесь и лягу в теплую постель.
Живем не без потерь, но собираем бонусы.
Кто-то стал умным чересчур, кто-то умом тронулся.
Ты мне скажешь, мудачок, что я тут тоже *бнулся.
Приезжай к нам на район, тут еще те фокусы!
Припев:
Мой старый знакомый — мой старенький вводный.
Я прихожу к тебе реже, чем злодеи на подвиг.
Но ты мой путь в те дни, где суммой была сотка,
Не в белых кроссовках.
Мой старый знакомый — мой старенький вводный.
Я прихожу к тебе реже, чем злодеи на подвиг.
Но ты мой путь в те дни, где суммой была сотка,
Не в белых кроссовках.
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Pas un pas en arrière, sortez-le du marché !
Dans la ville de la pauvreté et des casernes, ils nous mettront dans un chaudron.
Peu importe comment *publié, il est toujours en bas.
Chicago, Killa, feinte de banzai pour * avant Azar.
Que deviendrais-je, fils, en choisissant une autre mine ?
J'aurais sauté dans un autre trou, j'aurais jeté d'autres salopes.
Maintenant, je suis assis dans la cuisine en rythme, et je n'attends pas demain.
Je serre la main du fond du cœur à ceux qui sont l'auteur de Dieu.
Allez, cherchez-nous là où il n'y a aucune trace.
Où votre *flic de bain agite sa queue.
Un bandage sur le bras, quelques pièces sur le minibus.
Dieu, sauve-moi des ennuis et des paris sur Fonbet.
Je suis pauvre, mais pas d'âme, et pas pâle de boules.
Ils ont brisé la barrière dans le nez, et ce rival.
Pas stupide de se mettre en face, stupide de se tenir debout comme un duvet.
Lève-toi et tombe, seule la charogne traîne ici.
Comme * un ermite costaud - je vais me laisser pousser la barbe,
Je vais me raser sans raison et sortir de la ville.
Peut-être à Kalik, à l'ancienne, ou ailleurs.
Tu sautes sur un manège, là le conducteur sous l'avant est fauve.
Épuisé comme un marqueur, je me suis à nouveau ravitaillé.
Fuck la vie, mais c'est toujours Lova-Lova.
Chicago est une ville de douleur, de conneries, de dope et d'alcool ;
Où une fois le samedi la volonté de fer est brisée.
Les gars sous les ronds ont peur de conduire.
L'appel sur les tubes : "Je suis aux barreaux, je vais vers toi, et *uli ?"
Je sens cette ville, je la sens jusqu'aux os.
Ici je suis né, ici je vais me coucher dans un lit chaud.
Nous ne vivons pas sans pertes, mais nous collectons des bonus.
Quelqu'un est devenu trop intelligent, quelqu'un est devenu fou.
Tu vas me dire, connard, que je suis tombé ici aussi.
Venez dans notre quartier, il y a encore ces astuces !
Refrain:
Mon vieil ami est mon ancienne introduction.
Je viens moins souvent vers vous que les méchants pour un exploit.
Mais tu es mon chemin en ces jours où la somme était de cent,
Pas en baskets blanches.
Mon vieil ami est mon ancienne introduction.
Je viens moins souvent vers vous que les méchants pour un exploit.
Mais tu es mon chemin en ces jours où la somme était de cent,
Pas en baskets blanches.
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