The Black Hundred - Primordial

Here there is no god he is ground to dust

In the death machine of industry

The iron hearse sent on bitter tracks to the Gulag

Suffering forged between the hammer and sickle

The sorrow of men’s hearts is a broken people

Nations at the gallows pray for mercy killing

Men of the cloth stand in stretch necked defiance

Famines fist sounds the death knell

The people’s utopia moulds an industrial horizon

Rusted Vostok in the lap of the Gods

«I want to burn, give me the funeral pyre

Long was life, but my life’s waking short

The highest of my father’s sacraments

To climb towards heaven on a towering flame

And scream out the injustice by which

My nation with fiery iron was beset and slaughtered»

Ici, il n'y a pas de dieu, il est réduit en poussière

Dans la machine à mourir de l'industrie

Le corbillard de fer envoyé sur des pistes amères au Goulag

La souffrance forgée entre le marteau et la faucille

Le chagrin du cœur des hommes est un peuple brisé

Les nations à la potence prient pour le meurtre par pitié

Les hommes de l'étoffe se dressent dans un défi au cou étiré

Le poing des famines sonne le glas

L'utopie populaire façonne un horizon industriel

Vostok rouillé sur les genoux des dieux

"Je veux brûler, donne-moi le bûcher funéraire

La vie a été longue, mais ma vie est courte

Le plus élevé des sacrements de mon père

Pour monter vers le ciel sur une flamme imposante

Et crier l'injustice par laquelle

Ma nation au fer ardent a été assaillie et massacrée »