Vendetta - Prozak

I don’t know why you wanna push me

When I’m so close to the edge

You see and we can just prevent

This beef before I lose my mind

Walking a tight rope between sanity and psycho

Veins filled with nytro igniting like pyro

Needs a room to breathe before I’m reacting like Michael

Myers with violent desires to sever your spinal

Yes the urge is primal in vital to feed my rivals

By any means of survival leaving em dead on arrival

The beast unleashed, released proceeds to strike you

Defeat to lead to decease the repeat cycle

Claustrophobic now, everything is closing in

Is this reality or prison from within?

Very hard to focus as my mind slowly spins

Oh no, here it come, not this again

(I hate!) Everything about you hate!

Anything about (you hate!)

Everyone around (you hate!) fuck you!

And all that you’re standing for

Maybe I should try to take a deep breath

I can’t see the reason with my own self

Focus is only showing my true hell

I’m blackin' out thinking about all of this

Jeckyll & Hyde shit, brian on autopilot

My mentality riot, unsustainable climate

Melt down, time split, personality conflict

See it in my iris, dilated I’m just

Thinking of killing you, drilling you, filling you with venom

Struggling cause the thought of murder is so compelling

Deep inside of me is a demented monster dwelling

Like Bruce Banner can’t get a handle, dismantle everything

And now that the rage has consumed me

Andrenaline lettin' in purely

Each and every self is with fury

Revenge is all that consumes me

At the end of the day I don’t know what else to say

So if the shoe fits, wear it and stay the fuck away

This is predator speaking directly to the prey

May we never cross paths in the same place

Stir with lambs so we’re facing the same space

Mind state, mine grain, bones will break

Strange brain, blood drain, screams of pain

Placing great seal fate, no trace

Je ne sais pas pourquoi tu veux me pousser

Quand je suis si près du bord

Vous voyez et nous pouvons simplement empêcher

Ce boeuf avant que je ne perde la tête

Marcher sur une corde raide entre la santé mentale et psychopathe

Veines remplies de nytro s'enflammant comme du pyro

J'ai besoin d'un espace pour respirer avant de réagir comme Michael

Myers avec des désirs violents de vous couper la colonne vertébrale

Oui, l'envie est primordiale et vitale de nourrir mes rivaux

Par n'importe quel moyen de survie, les laissant morts à leur arrivée

La bête déchaînée, relâchée continue de vous frapper

Vaincre pour mener à la mort le cycle de répétition

Claustrophobe maintenant, tout se referme

Est-ce une réalité ou une prison de l'intérieur ?

Très difficile de se concentrer alors que mon esprit tourne lentement

Oh non, ça y est, pas encore ça

(Je déteste !) Tout ce que tu détestes !

Tout ce qui concerne (vous détestez !)

Tout le monde autour (vous détestez !) va vous faire foutre !

Et tout ce que tu défends

Je devrais peut-être essayer de respirer profondément

Je ne peux pas voir la raison avec moi-même

L'accent ne montre que mon véritable enfer

Je m'évanouis en pensant à tout ça

Merde de Jeckyll & Hyde, Brian en pilote automatique

Mon émeute de mentalité, climat insoutenable

Fondre, temps partagé, conflit de personnalité

Le voir dans mon iris, dilaté je suis juste

Penser à te tuer, te forer, te remplir de venin

Luttant parce que la pensée du meurtre est si convaincante

Au fond de moi se trouve une demeure de monstre dément

Comme Bruce Banner ne peut pas comprendre, tout démonter

Et maintenant que la rage m'a consumé

Andrénaline laissant entrer purement

Chacun de nous est avec fureur

La vengeance est tout ce qui me consume

À la fin de la journée, je ne sais pas quoi dire d'autre

Donc, si la chaussure vous va, portez-la et restez à l'écart

C'est un prédateur qui parle directement à la proie

Puissions-nous ne jamais nous croiser au même endroit

Remuer avec des agneaux pour que nous soyons face au même espace

État d'esprit, grain de mine, les os vont se casser

Cerveau étrange, fuite de sang, cris de douleur

Placer un grand destin de phoque, aucune trace