Voici les paroles de la chanson : Lonely Streets , artiste : Rachael Sage Avec traduction
Texte original avec traduction
Rachael Sage
I walk along in these lonely streets
I walk along so I can feel my breath
Without distraction, without no relief said I
Walk here alone so I can feel myself
'Cause you were the needle inside my pillow
And you were the beetle inside my mouth
You were the laughing and you were the choking
You were the fun I should’ve done without
You were the fun I should’ve done without
Funny how light moves you oh so slowly
It’s funny how time moves like butterflies
It tells you to hold on it tells you you’re holy
Tells you to love someone & to sacrifice
'Cause you were the needle inside my pillow
And you were the beetle inside my mouth
You were the laughing and you were the choking
You were the fun I should’ve done without
You were the fun I should’ve done without
I walk along in these lonely streets
I walk along so I can feel my breath
Without distraction, without no relief said I
Walk here alone so I can free myself
'Cause you were the needle inside my pillow
And you were the beetle inside my mouth
You were the laughing and you were the choking
You were the fun I should’ve done without
You were the fun I should’ve done without
Je marche dans ces rues solitaires
Je marche pour sentir mon souffle
Sans distraction, sans soulagement, j'ai dit
Marcher ici seul pour que je puisse me sentir
Parce que tu étais l'aiguille à l'intérieur de mon oreiller
Et tu étais le scarabée dans ma bouche
Tu étais le rire et tu étais l'étouffement
Tu étais le plaisir dont j'aurais dû me passer
Tu étais le plaisir dont j'aurais dû me passer
C'est drôle comme la lumière te déplace si lentement
C'est marrant comme le temps bouge comme des papillons
Il te dit de tenir bon, il te dit que tu es saint
Vous dit d'aimer quelqu'un et de sacrifier
Parce que tu étais l'aiguille à l'intérieur de mon oreiller
Et tu étais le scarabée dans ma bouche
Tu étais le rire et tu étais l'étouffement
Tu étais le plaisir dont j'aurais dû me passer
Tu étais le plaisir dont j'aurais dû me passer
Je marche dans ces rues solitaires
Je marche pour sentir mon souffle
Sans distraction, sans soulagement, j'ai dit
Marcher ici seul pour que je puisse me libérer
Parce que tu étais l'aiguille à l'intérieur de mon oreiller
Et tu étais le scarabée dans ma bouche
Tu étais le rire et tu étais l'étouffement
Tu étais le plaisir dont j'aurais dû me passer
Tu étais le plaisir dont j'aurais dû me passer
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