1943 - Reaper

Out in the field we are fallen

Frozen to death in the cold

Undeniable, we were born and so Asking each other for nothing

Paying a horrible price

So dispensable is our sacrifice

Winter, the coming after ages

That marksmen screams and rages

The fire, the fortune, the victory has come

Watching the heavens blazing

Catching the frost on the ground (?)

Eat away ?, hear the waiting sound

Most are drumming and shaking

Wish they would shut and explore

We have come to bear this heavy load (?)

Winter, the coming after ages

That marksmen screams and rages

The fire, the fortune, the victory has come

We walk this land of rock until the end of time

The future once for vultures, now for deafening crowd

The time and time again, the heart, my never will?

Till out of history the sensible must feel

Winter, the coming after ages

That marksmen screams and rages

The fire, the fortune, the victory of anger

And dying feast of nothing

And one by one we’re passing

The glory of hope is not still gone

Sur le terrain, nous sommes tombés

Gelé à mort dans le froid

Indéniable, nous sommes nés et donc ne nous demandons rien

Payer un prix horrible

Notre sacrifice est si indispensable

L'hiver, la venue après les âges

Que les tireurs d'élite crient et font rage

Le feu, la fortune, la victoire est venue

Regarder les cieux s'embraser

Attraper le givre au sol (?)

Mangez?, entendez le son d'attente

La plupart tambourinent et tremblent

J'aimerais qu'ils se ferment et explorent

Nous sommes venus pour porter ce lourd fardeau (?)

L'hiver, la venue après les âges

Que les tireurs d'élite crient et font rage

Le feu, la fortune, la victoire est venue

Nous marchons sur cette terre de roche jusqu'à la fin des temps

L'avenir une fois pour les vautours, maintenant pour la foule assourdissante

Maintes et maintes fois, le cœur, mon ne le sera jamais ?

Jusqu'à ce que hors de l'histoire, le sensé doive ressentir

L'hiver, la venue après les âges

Que les tireurs d'élite crient et font rage

Le feu, la fortune, la victoire de la colère

Et festin mourant de rien

Et un par un nous passons

La gloire de l'espoir n'est pas encore partie