Olga (1984) - Rejjie Snow

Oh god damn, we’re just having a good time

Just had to put my thoughts on a page

Oh yea, I’ve missed that big booty of yours tho' hahah

Let me rap it too you real quick tho'

Let me now what you’re saying

Sipping guinness’es, chillin' on the moon

Her name is fucking Luna, I’m the looney to the tune

Kissing on her neck, because she’s georgues

Flirting with her momma, 'cus her ass is so enourmos

The sweet endeavour and -, she’s bordering — on clever

— suffocated with that pussy, masturbated acapella

I mean mastucated, chewing on her pen

Spill the cereal, and smuggle magic

Mushrooms for the sex (for the sex)

I shed a tear with a beer

Limitations of the imitated, speak with no fear

Crack the bottle of the henny, spilling pennys

Cheers for the years, hate to see you leave, and don’t blame it on the beers

Over rated, emancipated by pissy fits

Smoochy and salubrious, bedazzled by his nigga lips

So bedazzled as he babbled out a weird slang

Speaking like a muffin as he muffled out the kid’s name

I’ll unplug and I’ll move like a fucking slug

And this flow with smuther your ears so I’m breaking them earplugs

And them cables getting distorted, I’m certain to unplug

Disposables and dug, can never wet that fuckin bed cus' daddy was a thug

Uncles that he never had 'cus crack over love

Beds full of bugs, bed bugs I’m a sucker for the drugs

But on the rag, moany as my grandad

While you was playing PlaySation, she was out in Baghdad

I’m done spitting I’m never preaching I’m sitting

And she’s licking on my body yeah she’s mimicking a kitten

But I’m hear to fucking conquer, predicaments of mayans

And I’m crying to my self esteem, is heaven gonna prosper?

I built this city raw like I was chewing on a Stanley Blade

Evade with the hope crushing the city on a renegade

And stomping on his tippy toes and running til the priest say

Our only lord and saviour was a nigga

Jerusalem was Africa until they came and pillaged

Picking out the beauty in the queens

Taking all the kings, tying them in chains

Taking all my money, and making me a slave

I bear witness to this testament of grief

Analogies and ullitgies cus' everything is bleak

God’s always telling me to contemplate and concentrate

And illustrate my inner hate

Simile’s that asimulate

Commiserate upon the misery of getting cream

Flirting with the queen, oops I mean Eve

Cause She was always nagging bout' an apple in a tree

Imagine if the bible said Adam, not Eve

But Steve, would —

And I like them girls raw, always bordering a freak

And I like my steaks bloody raw, leaking on the meat

And them black bitches twerking on my pee pee for a tweet

And a pig with a severed head, hanging by his feet

Like a negro, back in 1923

But the spades in my daggers, stabbing apples from my tree

And don’t blame it on the beers, but cheers

All I wanna do is shed a tear

And don’t blame it on the beers, but cheers

All I wanna do is shed a tear

And don’t blame it on the beers

All I wanna do is shed a tear

And don’t blame it on the beers, but cheers

All I wanna do is shed a tear

Oh putain, on passe juste un bon moment

Je devais juste mettre mes pensées sur une page

Oh ouais, j'ai raté ton gros butin bien que hahah

Laisse-moi rapper toi aussi très vite

Laissez-moi maintenant ce que vous dites

Siroter des guinness, chillin' sur la lune

Son nom est putain de Luna, je suis le fou de l'air

Embrasser sur son cou, parce qu'elle est georgues

Flirter avec sa maman, parce que son cul est tellement enourmos

La douce entreprise et -, elle est à la limite - sur intelligente

- étouffé avec cette chatte, masturbé a capella

Je veux dire mastiqué, mâchonnant son stylo

Renversez les céréales et faites passer la magie en contrebande

Champignons pour le sexe (pour le sexe)

J'ai versé une larme avec une bière

Limites des imités, parlez sans crainte

Casser la bouteille de henny, renverser des penny

Bravo pour les années, je déteste te voir partir et ne blâme pas les bières

Surestimé, émancipé par des crises de pipi

Smoochy et salubre, ébloui par ses lèvres de nigga

Tellement ébloui qu'il a balbutié un argot étrange

Parlant comme un muffin alors qu'il étouffait le nom de l'enfant

Je vais me débrancher et je bougerai comme une putain de limace

Et ce flux avec smuther tes oreilles donc je casse les bouchons d'oreilles

Et ces câbles se déforment, je suis certain de débrancher

Jetables et creusés, je ne peux jamais mouiller ce putain de lit parce que papa était un voyou

Des oncles qu'il n'a jamais eu parce qu'ils craquent pour l'amour

Lits pleins d'insectes, punaises de lit, je suis une ventouse pour la drogue

Mais sur le chiffon, gémissant comme mon grand-père

Pendant que vous jouiez à PlaySation, elle était sortie à Bagdad

J'ai fini de cracher, je ne prêche jamais, je suis assis

Et elle me lèche le corps ouais elle imite un chaton

Mais j'entends conquérir, les difficultés des mayas

Et je pleure sur mon estime de moi, le paradis va-t-il prospérer ?

J'ai construit cette ville brute comme si je mâchais une Stanley Blade

Évadez-vous avec l'espoir d'écraser la ville sur un renégat

Et piétinant ses orteils et courant jusqu'à ce que le prêtre dise

Notre seul seigneur et sauveur était un négro

Jérusalem était l'Afrique jusqu'à ce qu'ils viennent et pillent

Choisir la beauté des reines

Prenant tous les rois, les attachant dans des chaînes

Prenant tout mon argent et faisant de moi un esclave

Je suis témoin de ce témoignage de chagrin

Analogies et ullitgies car tout est sombre

Dieu me dit toujours de contempler et de me concentrer

Et illustrer ma haine intérieure

Simile qui simule

Commettez la misère d'obtenir de la crème

Flirter avec la reine, oups je veux dire Eve

Parce qu'elle harcelait toujours une pomme dans un arbre

Imaginez si la Bible disait Adam, pas Eve

Mais Steve, serait —

Et j'aime ces filles brutes, toujours à la limite d'un monstre

Et j'aime mes steaks sanglants crus, qui coulent sur la viande

Et ces salopes noires twerk sur mon pipi pour un tweet

Et un cochon avec une tête coupée, pendu par les pieds

Comme un nègre, en 1923

Mais les piques de mes poignards, poignardant les pommes de mon arbre

Et ne blâmez pas les bières, mais bravo

Tout ce que je veux faire, c'est verser une larme

Et ne blâmez pas les bières, mais bravo

Tout ce que je veux faire, c'est verser une larme

Et ne blâmez pas les bières

Tout ce que je veux faire, c'est verser une larme

Et ne blâmez pas les bières, mais bravo

Tout ce que je veux faire, c'est verser une larme