Вий - Рем Дигга

Знаешь, у меня кровоточит десна,

А еще я две ночи без сна,

Но я не нюхаю, старик, десна снова пройдут

Потом и я засну потом под тик-тик-тик.

Тик!

Обитель циклопа, это мой загон,

Пакет комплексов просто жопа.

Календари худеют, и годы выгорают в пабе,

Кражи, но все сей сроду выбирают граббер.

Товарищ депрес, мистер желтый зуб,

Его подарит отходоса в миске жженный суп.

Ты никому не нужный бич,

Я в темноте в поту облизываю сиськи стремных с*к.

Мои фантазии беспочвенны,

Туманны и воняют в лес прочно в ил.

Здесь корчит жизнь меня

И я танцую марионеткой весь сморщенный.

Такой низкий звук в ушах, демон иду на матрац,

Снова подарит кому-то глюки, шах.

Возле плиты размажет гаев,

Потом после беды ад слаще рая.

Я знаю, потом депрес опять,

Лишайным котом мне, блин, где здесь гулять?

Вчерашний район, родной такой теперь опав алей,

Нежданный кордон, это бес весть подмял.

Ей это видимость покоя, мертвая обыденность сверх гноя,

В глотку вылилось спиртное,

Вытерлась рукою кожа бесова от воска свечей

Трек этот гелий, мы бездари, кричат мне: «Молчи».

Обаял меня страх снова на часок,

Внутри завись и росток, зависть там и зло.

Подари мне нал, служит ведь нал там гарантом,

Почвенный кусок в тисках мал для гигантов.

Корявая периферия, перина вия, не грузись, бери вари яд.

И весь этот путь лишь тоска, дуть и шлюх тут таскать,

Но то, что вымерло в прошлом те дни, а не я.

Моменты грез теперь плачут в петле у стула.

Как тлен их сдуло, потух навечно в земле окурок,

Полусонный мир, полусонный я,

Дарят ночи голых дочек, следом дарит полосы заря.

Пульс ада внемлет чревом мило

И скатятся не надо, там уже пол чела сгнило.

Я видел оного недавно,

Он голый гадит, он ходит …, ну или по кровати

Такая яма, мать их, цифрой восемь, драма мать их,

И не спешно слова лето колеса восемь плавно катит.

И досе я там в хате, полуголый, босый на кровати,

Ночь люблю забыть, а ко дню и вовсе ноль симпатий.

Потух детский костер резко и все, добыть огонь,

Но искать мне не с кем его.

Одинокий голый в глуши, холод как жизнь,

С каких таких делов мне быть веселым расскажи.

Припев:

Смело закурю, возле мела на полу.

Скверно имена сменят тело на золу.

Смело закурю, возле мела на полу.

Скверно имена сменят тело на золу.

Смело закурю, возле мела на полу.

Скверно имена сменят тело на золу.

Смело закурю, возле мела на полу.

Скверно имена сменят тело на золу.

Tu sais, mes gencives saignent,

Et je suis deux nuits sans dormir,

Mais je ne sens pas, vieil homme, les gencives vont repasser

Puis je m'endormirai plus tard sous le tic-tic-tic.

Teck!

La demeure des cyclopes, c'est mon enclos,

Le paquet de complexes n'est qu'un âne.

Les calendriers deviennent minces et les années s'épuisent dans le pub

Des vols, mais tout le monde de ce genre choisit un agrippeur.

Camarade depres, monsieur la dent jaune,

Il sera distribué dans un bol de soupe brûlée.

Tu n'es le fléau de personne,

Je suis dans le noir en sueur à lécher les seins de salopes stupides.

Mes fantasmes sont sans fondement

Brumeux et puant dans la forêt fermement dans le limon.

Ici la vie me tord

Et je danse comme une marionnette toute ridée.

Un son si bas dans mes oreilles, le démon va au matelas,

Donnera encore à quelqu'un des pépins, vérifiez.

Près du poêle va salir les gays,

Puis après les ennuis, l'enfer est plus doux que le ciel.

Je sais, puis encore la dépression,

Comme un chat lichen pour moi, bon sang, où puis-je marcher ici ?

Le quartier d'hier, tel un natif est maintenant tombé,

Cordon inattendu, ce démon a écrasé l'actualité.

Pour elle, c'est une apparence de paix, une routine morte au-delà du pus,

L'alcool versé dans la gorge,

La peau du démon a été essuyée par la cire des bougies

Traquez cet hélium, nous sommes médiocres, ils me crient : "Tais-toi."

La peur m'a encore charmé pendant une heure,

Dépendez et poussez à l'intérieur, l'envie y est mauvaise.

Donnez-moi de l'argent, l'argent sert de caution là-bas,

Un morceau de terre dans un étau est petit pour les géants.

Périphérie maladroite, perina via, ne te charge pas, prends le poison.

Et tout ce chemin n'est que mélancolie, souffler et traîner des putes ici,

Mais ce qui s'est éteint dans le passé, ce sont ces jours-là, pas moi.

Des moments de rêve pleurent maintenant dans le nœud coulant près de la chaise.

Au fur et à mesure que leurs cendres s'envolaient, le mégot de cigarette s'est éteint pour toujours dans le sol,

Monde endormi, endormi moi

Ils donnent des nuits de filles nues, suivies de rayures d'aube.

Le pouls de l'enfer écoute le ventre mignon

Et il n'est pas nécessaire de rouler, la moitié du front y est déjà pourrie.

je l'ai vu récemment

Il chie nu, il marche ..., enfin, ou sur le lit

Un tel trou, leur enfoiré, numéro huit, le drame de leur enfoiré,

Et lentement les mots été roues huit roule doucement.

Et puis je suis là dans la cabane, à moitié nu, pieds nus sur le lit,

J'aime oublier la nuit, mais je n'ai aucune sympathie pour la journée.

Le feu des enfants s'est éteint brusquement et c'est tout, faites un feu,

Mais je n'ai personne avec qui le chercher.

Seul nu dans le désert, froid comme la vie,

Dis-moi pourquoi je devrais être joyeux.

Refrain:

Je fumerai hardiment, près de la craie sur le sol.

Les mauvais noms transformeront le corps en cendres.

Je fumerai hardiment, près de la craie sur le sol.

Les mauvais noms transformeront le corps en cendres.

Je fumerai hardiment, près de la craie sur le sol.

Les mauvais noms transformeront le corps en cendres.

Je fumerai hardiment, près de la craie sur le sol.

Les mauvais noms transformeront le corps en cendres.