Зупини час - Роллік'с

А може так не треба, чи варто зупинитись на мить або заплющити очі та вниз не дивитись

Не хочу стати я сірою тінню безмовною з холодними стінами думками ділитись

До самої прірви, до згубного краю ступаю, ногами міряю страх

Та я ще не певний, чи знову повірю словам, що тремтять на губах:

Зупини час.

Скільки лишилося нам?

Прожени біль.

Знову між нами стіна…

Зачинені двері, застиг погляд на стелі, так дивно, як лунко годинником тікає

пульс

І не так вже й цікаво, що стане відтепер, і не важливо не скільки чи впаду або

зірвусь

До самої прірви, до згубного краю ступаю, ногами міряю страх

Та я ще не певний, чи знову повірю словам, що тремтять на губах:

Зупини час.

Скільки лишилося нам?

Прожени біль.

Знову між нами стіна

Мій біль стане стіною, спробуй розбити, якщо є сили

Не зупинили, час тікає, ще ближче до прірви, а ми не змінили нічого,

лишилася крихта остання до згубного краю, не вірю, не знаю…

І далі ступаю, на жаль, не помічаючи сенсу, наче згасаю

Ou vous n'aurez peut-être pas besoin de vous arrêter un instant ou de fermer les yeux et de ne pas baisser les yeux

Je ne veux pas devenir une ombre grise sans voix avec des murs froids pour partager des pensées

Je marche jusqu'à l'abîme, jusqu'à la terre pernicieuse, je mesure la peur avec mes pieds

Mais je ne sais toujours pas si je vais à nouveau croire les mots qui tremblent sur mes lèvres :

Temps d'arrêt.

Combien nous reste-t-il ?

Débarrassez-vous de la douleur.

Le mur entre nous à nouveau…

La porte était fermée, son regard se figea sur le plafond, aussi étrange que le trou d'une horloge qui s'enfuit

impulsion

Et ce n'est pas si intéressant ce qui va se passer à partir de maintenant, et peu importe combien je tombe ou pas

je vais casser

Je marche jusqu'à l'abîme, jusqu'à la terre pernicieuse, je mesure la peur avec mes pieds

Mais je ne sais toujours pas si je vais à nouveau croire les mots qui tremblent sur mes lèvres :

Temps d'arrêt.

Combien nous reste-t-il ?

Débarrassez-vous de la douleur.

Encore un mur entre nous

Ma douleur deviendra un mur, essaie de briser si tu as la force

Ne s'est pas arrêté, le temps presse, encore plus près de l'abîme, et nous n'avons rien changé,

la dernière miette est laissée au bord pernicieux, je ne crois pas, je ne sais pas…

Et je continue à marcher, malheureusement, sans remarquer le sens, comme s'il s'effaçait