Sharp Edge of the Earth - Sabbath Assembly

Her star rises in mist from the sea at evening

‘Remember the beauty of my caress'

O memory -- her wares cannot perish

How I smell the perfume in her blood

My fever is high

I’ve seen through the sheltering sky

To the horrors above this Sharp Edge of the Earth

Who can defend love?

That night he woke sobbing, a well miles deep

To the streets of gold falls his dimming star

No memory save the faceless voice whispering

‘The earth is sharp, trust the blade that cuts you'

My fever is high

I’ve seen through the sheltering sky

To the horrors that lie on this Sharp Edge of the Earth

Who can defend love?

The Earth’s Sharp Edge

Is sharpened by the will to approach death

And the flower that dies

Is the one we nourish the most

The hour arrives

When the bloom turns to dust

And the earth’s sharp edge cuts you

Finally the garden is barren

The blind fluttering moth toward the candle flies

Offers blessings to thee, then burns falls and dies

To the streets of gold fall its burning wings

Like our prayers of incense its smoke rises to God

Son étoile se lève dans la brume de la mer le soir

"Souviens-toi de la beauté de ma caresse"

Ô mémoire - ses marchandises ne peuvent pas périr

Comment je sens le parfum dans son sang

Ma fièvre est élevée

J'ai vu à travers le ciel protecteur

Aux horreurs au-dessus de ce bord tranchant de la Terre

Qui peut défendre l'amour ?

Cette nuit-là, il s'est réveillé en sanglotant, à des kilomètres de profondeur

Dans les rues d'or tombe son étoile qui s'assombrit

Pas de mémoire sauf la voix sans visage qui chuchote

"La terre est tranchante, faites confiance à la lame qui vous coupe"

Ma fièvre est élevée

J'ai vu à travers le ciel protecteur

Aux horreurs qui reposent sur ce bord tranchant de la Terre

Qui peut défendre l'amour ?

Le tranchant de la Terre

Est aiguisé par la volonté d'approcher la mort

Et la fleur qui meurt

Est-ce celui que nous nourrissons le plus

L'heure arrive

Quand la floraison se transforme en poussière

Et le tranchant de la terre te coupe

Enfin le jardin est stérile

Le papillon aveugle voletant vers la bougie vole

T'offre des bénédictions, puis brûle, tombe et meurt

Dans les rues d'or tombent ses ailes brûlantes

Comme nos prières d'encens, sa fumée monte vers Dieu