Threewrite - Sage Francis

The hands I’ve been trying to hold

This is to the (uh-uh) love that I lost

And all the troubling thoughts of how I got double-crossed

And this is to the (uh-uh) divorce I was forced to settle with

And the remorse I fought off with metal fists

And this is to the (uh-uh) wet, watery kiss I left you with

On your porch as I watched your trembling lips

This is to the… memory of our early years

The first girl I shared feelings with

And it’s the realest thing I’d experienced in my short existence

And I ain’t afraid to admit

Cause love is one of the things that doesnt come with an age limit

Now does it?

In fact I’mma have to say I’m more keen to feel such things

Hopeless things I’d lost in a smokescreen of meaningless fucking

Touching without touching, candles in the dark

Casting shadows on our parents battles, this is for the romantics at heart

It wasn’t too long before I held you more then my pen

When I wasn’t writing songs, it was something like

«Forever and always, whenever those songs play…»

I remember empty hallways

Or your image that descended from the top floor became an echo

I paid the price for those hard things, and couldn’t afford to let go

From a passive debt, I’m past regret

Did you know I dreamt about you before we met?

Remembering our first kiss, and it hadn’t even happened yet

Recollecting your scent, and I wasn’t even given the chance to forget

I guess that’s the magic of it

Now every rehashed subject’s displaying what I wrote

On cafe napkins to the public

To get it over and done with, closure hath cometh

My shoulders are plummeted from holding these buckets

Hold your laughs till I go back to the tunnels of Paris

Where I wrote half of these paragraphs… but fuck it

This is to my ten year story, in another decade

You better be better prepared for me

In the first four years, you were all ears

Then for the next six, you left me for the next exit

With depth to my message

So that began my affair with the world abroad

Behind the curtain with the other hurtful girls I explored

Until I became the monster, turning to the words that I record

Pardon me, if you heard it all before

«I didn’t shake you to hurt you»

When you landed on the floor

In a room of naked virtues

I closed my eyes to cancel what I saw

Your hand made the first move to the handle of the drawer

Where the frail girl couldn’t think to live

«I didn’t shake you to hurt you»

I never planned it before

I can’t shake off your perfume, can’t wash my hands no more

And I’m breaking my curfew, but I can’t walk

I’m standing at the door, I hear the wailing of a little kid

…and the failure of innocence

His compromise eyeing the side of the kitchen sink

What’you think, I just let you cut you, cut me-- cut the bullshit

Damn, I love the hugs enough to tolerate

The way we made each other crazy, making it so tough to operate

Productively, my self esteem didn’t help when I felt ugly

And I figured that’s the reason why you wouldn’t touch me

My ego does bleed, I shouldn’t have let you test it

And let your arms free to follow up with your domestic slip up

Love is a battlefield so lick your shots quick

While I lick my wounds and then resume as an obvious target

Infatuations with the past protect my Purple Heart with

A faded picture I had in my shirt pocket

I’m going out with a bang.

In a blaze of glory holes, the anti-hero

I don’t care how many ways the story’s told

Be careful when these doolies play like drums

And watch what you foolishly say because my uzi weighs a ton

This is to the sleepless evenings that I spent next to grave stones

Hoping someone from beyond would grab my arm and take me home

I hadn’t accepted I’d have to make it alone

After feeding everything I had into a payphone

And this is to the rain.

I felt like it was made of spit

My parade was an unbreakable chain of Gabe’s trumpets

Save the buckets even though they weighed down my walking

You don’t know the height of the steak you place your fork in

You look old (that's what you said)

I feel old (that's what I said)

I been through a lot since you been gone, dead, born again

Torn to shreads over girls who were porcelain

The cry-baby dolls, when we were allowed to talk again

I stopped accepting break-up calls (that ring true)

I hate the way I fall for everything you do

Our fate is flawed, that’s why I make these break-up songs to sing to you

Music is my only psychiatric drug

And you’re a pill in human form I’d like to hide under my tongue

Kiss the foot that couldn’t fit into the slipper of my mouth

The denizen in your house begging for the benefit of your doubts

When I got kicked out, I played the faithful puppy dog

Loyal to the love alost, sitting at your fucking door in utter disbelief

I sucked all of the skin off of my teeth

You pulled away, you let me choke on your invisible leash

You can find me hiding these screams behind my eyelids

She blinded me (she blinded me) with silence.

So my air-mail lips blew her a fairwell kiss

Slinking over the sink, where all the hair gel drips

Stairwells dip deep into her mouth where I found a cycle

And ever since then, I’ve been on a downward spiral

This round is final, it’s time to recover

Because it’s a porch that some dogs choose to die under

The first song was a breakdown, I apologize in round two

This version I’m certain, this shit ain’t even about you

It’s the threewrite.

Les mains que j'ai essayé de tenir

C'est pour l'amour (uh-uh) que j'ai perdu

Et toutes les pensées troublantes sur la façon dont j'ai été doublé

Et c'est pour le (uh-uh) divorce avec lequel j'ai été forcé de m'installer

Et le remords que j'ai combattu avec des poings de métal

Et c'est pour le (uh-uh) baiser humide et aqueux que je t'ai laissé

Sur ton porche alors que je regardais tes lèvres tremblantes

C'est à la mémoire de nos premières années

La première fille avec qui j'ai partagé des sentiments

Et c'est la chose la plus réelle que j'ai vécue dans ma courte existence

Et je n'ai pas peur d'admettre

Parce que l'amour est l'une des choses qui n'a pas de limite d'âge

Est-ce maintenant ?

En fait, je dois dire que je suis plus désireux de ressentir de telles choses

Des choses sans espoir que j'avais perdues dans un écran de fumée de putain de sens

Toucher sans toucher, bougies dans le noir

Jeter des ombres sur les batailles de nos parents, c'est pour les romantiques dans l'âme

Il n'a pas fallu longtemps avant que je te tienne plus que mon stylo

Quand je n'écrivais pas de chansons, c'était quelque chose comme

«Pour toujours et toujours, chaque fois que ces chansons jouent…»

Je me souviens de couloirs vides

Ou votre image qui est descendue du dernier étage est devenue un écho

J'ai payé le prix de ces choses difficiles et je ne pouvais pas me permettre de laisser tomber

D'une dette passive, je suis au-delà des regrets

Saviez-vous que je rêvais de vous avant de nous rencontrer ?

Se souvenir de notre premier baiser, et ce n'était même pas encore arrivé

Je me souviens de ton odeur, et je n'ai même pas eu la chance d'oublier

Je suppose que c'est la magie de celui-ci

Maintenant, chaque sujet remanié affiche ce que j'ai écrit

Sur des serviettes de café au public

Pour en finir et en finir, la fermeture est venue

Mes épaules sont tombées à force de tenir ces seaux

Retiens tes rires jusqu'à ce que je retourne dans les tunnels de Paris

Où j'ai écrit la moitié de ces paragraphes… mais merde

C'est à mon histoire de dix ans, dans une autre décennie

Tu ferais mieux d'être mieux préparé pour moi

Au cours des quatre premières années, vous étiez tout ouïe

Puis pour les six suivants, tu m'as laissé pour la prochaine sortie

Avec la profondeur de mon message

Alors ça a commencé ma liaison avec le monde à l'étranger

Derrière le rideau avec les autres filles blessantes que j'ai explorées

Jusqu'à ce que je devienne le monstre, me tournant vers les mots que j'enregistre

Pardonnez-moi, si vous avez tout entendu avant

"Je ne t'ai pas secoué pour te faire du mal"

Lorsque vous avez atterri sur le sol

Dans une salle de vertus nues

J'ai fermé les yeux pour annuler ce que j'ai vu

Ta main a fait le premier pas vers la poignée du tiroir

Où la frêle fille ne pouvait pas penser à vivre

"Je ne t'ai pas secoué pour te faire du mal"

Je ne l'ai jamais planifié avant

Je ne peux plus me débarrasser de ton parfum, je ne peux plus me laver les mains

Et je brise mon couvre-feu, mais je ne peux pas marcher

Je me tiens à la porte, j'entends les gémissements d'un petit enfant

… et l'échec de l'innocence

Son compromis regarde le côté de l'évier de la cuisine

Qu'est-ce que tu en penses, je t'ai juste laissé te couper, me couper - couper les conneries

Merde, j'aime assez les câlins pour tolérer

La façon dont nous nous sommes rendus fous, ce qui rend si difficile à opérer

Productivement, mon estime de soi n'a pas aidé quand je me sentais laide

Et j'ai pensé que c'était la raison pour laquelle tu ne me toucherais pas

Mon ego saigne, je n'aurais pas dû te laisser le tester

Et laissez vos bras libres pour suivre votre erreur domestique

L'amour est un champ de bataille alors léchez vos coups rapidement

Pendant que je lèche mes blessures et que je reprends ensuite comme cible évidente

Les engouements pour le passé protègent mon cœur violet avec

Une photo fanée que j'avais dans la poche de ma chemise

Je sors en fanfare.

Dans une flamme de trous de gloire, l'anti-héros

Je me fiche du nombre de façons dont l'histoire est racontée

Faites attention lorsque ces doolies jouent comme des tambours

Et regarde ce que tu dis bêtement parce que mon uzi pèse une tonne

C'est aux soirées blanches que j'ai passées à côté des pierres tombales

En espérant que quelqu'un d'au-delà me saisirait le bras et me ramènerait à la maison

Je n'avais pas accepté que je devrais le faire seul

Après avoir mis tout ce que j'avais dans un téléphone public

Et c'est à la pluie.

J'avais l'impression que c'était fait de crachat

Ma parade était une chaîne incassable des trompettes de Gabe

Gardez les seaux même s'ils alourdissent ma marche

Vous ne connaissez pas la hauteur du steak dans lequel vous placez votre fourchette

Tu as l'air vieux (c'est ce que tu as dit)

Je me sens vieux (c'est ce que j'ai dit)

J'ai traversé beaucoup de choses depuis que tu es parti, mort, né de nouveau

Déchiré en lambeaux sur des filles qui étaient en porcelaine

Les poupées qui pleurent, quand on nous a permis de parler à nouveau

J'ai cessé d'accepter les appels de rupture (qui sonnent juste)

Je déteste la façon dont je tombe amoureux de tout ce que tu fais

Notre destin est imparfait, c'est pourquoi je fais ces chansons de rupture pour te chanter

La musique est ma seule drogue psychiatrique

Et tu es une pilule sous forme humaine que j'aimerais cacher sous ma langue

Embrasser le pied qui ne pouvait pas rentrer dans la pantoufle de ma bouche

L'habitant de votre maison mendiant pour le bénéfice de vos doutes

Quand j'ai été viré, j'ai joué le chiot fidèle

Fidèle à l'amour presque, assis à ta putain de porte dans l'incrédulité totale

J'ai sucé toute la peau de mes dents

Tu t'es éloigné, tu m'as laissé m'étouffer avec ta laisse invisible

Tu peux me trouver cachant ces cris derrière mes paupières

Elle m'a aveuglé (elle m'a aveuglé) avec le silence.

Alors mes lèvres de courrier aérien lui ont soufflé un baiser d'adieu

Se faufiler au-dessus de l'évier, où tout le gel capillaire coule

Les cages d'escalier plongent profondément dans sa bouche où j'ai trouvé un cycle

Et depuis lors, je suis dans une spirale descendante

Ce tour est final, il est temps de récupérer

Parce que c'est un porche sous lequel certains chiens choisissent de mourir

La première chanson était une panne, je m'excuse au deuxième tour

Cette version, j'en suis certain, cette merde ne te concerne même pas

C'est les trois écritures.