Гол Как Сокол - Сангу дэ САО

Гол как сокол — перед городом

С ветром наравне — под звёздным пологом

Строим козни — тем, кто дорог нам

Ходим в гости назло — улыбаемся врагам

Повезло меньше… ну… хорошо — больше

Завидно… а что ещё — остаётся праведникам?

Мы ж видим золото только при свете солнца

И нос свой дальше, чем окно не высунем — простудимся,

А камень то катится… Земля крутится

Друзья теряются — их забирает улица…

Шальная улица — дурь молодецкая

Волчьи оскалы слеплены — с улыбок детских

Знаю… как бывает больно сердцу

Закрыты двери — и не на что надеяться

Хлопоты… лимфоузлы заточены под опыты

Что дальше?

Дым, копоть и море фальши…

Топот в коридорах, крики: «дура, сука!»…

Прости меня, но я не мог тогда издать ни звука

Я был глубоко… не то чтобы в себе

Дрейфовал во лжи — так будет правильней…

И рад бы — оставить горсть воспоминаний памяти,

А образы развеять — над открытым пламенем,

Но я потерял мечту — в пучине времени

Бьюсь головой о стену, кричу… но всё равно её ищу…

Каждый Божий день, варится в суточной вязкости,

В кратковременном веселья, в объятиях грусти,

Уподобляться обманом своего же счастья.

Времена ненастья меняют скорбь.

Молебен, корка чёрного, пятьдесят, и снова в бой.

Бог мой, моя вера, вы со мной?

И чтобы не забыть домой дорогу к другу,

Я, как отец учил, буду бить судьбу падлюку по лицу,

И сколько пальцев нам хватит сосчитать слёзы,

Чтобы позже превратить их в поэзию и прозу.

Память детства как замороженную розу,

Буду греть ночами.

Свет, лампа, фото, кружка чаю.

Скучаю иногда, когда вокруг всем весело,

Эх щас бы эти, под гитару, песни.

Прокуренные ночью, этажи в подъезде.

Ютиться было тесно, зато все вместе.

До блеска натёртые носы, собак железных,

В душе мечтателя не будут хоронить надежды,

Ведь если есть желания, будут и стремления,

Заснеженные венки по весне оттают, как и прежде.

Objectif comme un faucon - devant la ville

Avec le vent égal - sous la voûte étoilée

Nous complotons des intrigues - pour ceux qui nous sont chers

Nous allons rendre visite par dépit - nous sourions aux ennemis

Chanceux moins... eh bien... bon - plus

Enviable... et que reste-t-il d'autre pour les justes ?

On ne voit l'or qu'à la lumière du soleil

Et notre nez est plus loin que nous sortons de la fenêtre - nous attrapons un rhume,

Et la pierre roule... La terre tourne

Les amis sont perdus - ils sont pris par la rue...

Rue folle - folie vaillante

Les sourires de loup sont moulés - à partir des sourires d'enfants

Je sais... comme ça fait mal au coeur

Les portes sont fermées - et il n'y a rien à espérer

Problème ... les ganglions lymphatiques sont aiguisés pour les expériences

Et après?

De la fumée, de la suie et une mer de mensonges...

Piétinant dans les couloirs, criant : "Imbécile, salope !"...

Pardonnez-moi, mais je ne pouvais pas faire de bruit alors

J'étais profond ... pas exactement en moi

Dérivé dans les mensonges - ce sera plus correct ...

Et je serais heureux de laisser une poignée de souvenirs de mémoire,

Et dissipe les images - au-dessus d'une flamme nue,

Mais j'ai perdu mon rêve - dans l'abîme du temps

Je me cogne la tête contre le mur, je crie... mais je la cherche toujours...

Chaque jour de Dieu, bouilli dans la viscosité quotidienne,

Dans le plaisir à court terme, dans les bras de la tristesse,

Soyez comme une tromperie de votre propre bonheur.

Les périodes de mauvais temps changent le deuil.

Un service de prière, une croûte de noir, cinquante, et encore une fois au combat.

Mon Dieu, ma foi, es-tu avec moi ?

Et ne pas oublier le chemin du retour chez un ami,

Moi, comme mon père l'a enseigné, je frapperai le destin du bâtard au visage,

Et combien de doigts nous suffiront pour compter les larmes,

Pour les transformer plus tard en poésie et en prose.

Le souvenir d'enfance est comme une rose gelée,

Je vais me réchauffer la nuit.

Lumière, lampe, photo, tasse de thé.

Ça me manque parfois quand tout le monde autour s'amuse,

Oh, en ce moment, ces chansons, avec une guitare.

Enfumé la nuit, planchers à l'entrée.

Huddling était étroitement, mais tous ensemble.

Nez polis jusqu'à l'éclat, chiens de fer,

Les espoirs ne seront pas enterrés dans l'âme d'un rêveur,

Après tout, s'il y a des désirs, il y aura des aspirations,

Les couronnes enneigées dégèleront au printemps, comme avant.