Let There Be War - Senser

First there is sound, distant sound

The murmuring sound of the crowd

Louder and louder till everything drowns

Now there are drums, that herald the setting of reason’s sun

Then there are lights,

Falling like stars in the sacred night

Now you will suffer for my love more than ever before

Let there be war

From a distance it resembles white hair flowing into the sky

The slug, the giant, the dirty device the men and the boys will die

The uncontrollable urge to take the one thing that your brother has

I am the source of this urge,

I am the curse,

This is a war universe

The promise of man, will lead you to hell

A hell in this world, the wages of sin

We cannot trust them, look at the signs

They are unlike us ready to strike us

Strike them first, burn everything clean

Cauterise their genes

Brushed by the wings of madness

My tears burn flesh

My gaze is death and my heart is full of those tears

I am the snake that appears

Coiled around the hearts of men

The phosphorous fang

The bodies that hang like withering fruit on the stem

The hero, the butcher, amnesia stains the future

undead relive the dying

Compassion’s waning flame, forever your sons will do the same

Let there be war

Cut off from earthly ties, and the interest of humans

Consult the sky for guidance, the act consumed fanatic

Reason and conscience wholly silenced

In men that know no rules, no ties but those of their order

No duty but to their cause and to extend it’s venal power

In a sleep state to their end, an end that justifies their means

An end that multiplies like dreams

of breaking limbs and burning screams and virgins bathed in blood and wine

Blindly obey the grand design

These streams of honey, burning flesh

The lips of death, all is regret

Let there be war

know this is the order of the earth

know this is the breath behind the word

Who could be so proud to think that they

Could lay their hand to stop the wheel that turns

Il y a d'abord un son, un son lointain

Le murmure de la foule

De plus en plus fort jusqu'à ce que tout se noie

Maintenant il y a des tambours qui annoncent le coucher du soleil de la raison

Ensuite, il y a des lumières,

Tombant comme des étoiles dans la nuit sacrée

Maintenant tu vas souffrir pour mon amour plus que jamais

Qu'il y ait la guerre

De loin, cela ressemble à des cheveux blancs qui coulent dans le ciel

La limace, le géant, le sale engin les hommes et les garçons vont mourir

L'envie incontrôlable de prendre la seule chose que votre frère a

Je suis la source de cette envie,

Je suis la malédiction,

C'est un univers de guerre

La promesse de l'homme, vous conduira en enfer

Un enfer dans ce monde, le salaire du péché

Nous ne pouvons pas leur faire confiance, regardez les signes

Ils sont différents de nous, prêts à nous frapper

Frappez-les d'abord, brûlez tout propre

Cautériser leurs gènes

Balayé par les ailes de la folie

Mes larmes brûlent la chair

Mon regard est la mort et mon cœur est plein de ces larmes

Je suis le serpent qui apparaît

Enroulé autour du cœur des hommes

Le croc phosphoreux

Les corps qui pendent comme des fruits flétris sur la tige

Le héros, le boucher, l'amnésie souille l'avenir

les morts-vivants font revivre les mourants

La flamme décroissante de la compassion, pour toujours vos fils feront de même

Qu'il y ait la guerre

Coupé des liens terrestres et de l'intérêt des humains

Consultez le ciel pour vous guider, l'acte consommé fanatique

La raison et la conscience entièrement réduites au silence

Chez les hommes qui ne connaissent aucune règle, aucun lien que ceux de leur ordre

Pas d'autre devoir que de défendre leur cause et d'étendre son pouvoir vénal

Dans un état de sommeil jusqu'à leur fin, une fin qui justifie leurs moyens

Une fin qui se multiplie comme des rêves

de membres brisés et de cris brûlants et de vierges baignées de sang et de vin

Obéir aveuglément au grand dessein

Ces flots de miel brûlant la chair

Les lèvres de la mort, tout est regret

Qu'il y ait la guerre

sache que c'est l'ordre de la terre

sachez que c'est le souffle derrière le mot

Qui pourrait être si fier de penser qu'ils

Pourraient poser leur main pour arrêter la roue qui tourne