Carovane - Sergio Cammariere
С переводом

Carovane - Sergio Cammariere

  • Альбом: Carovane

  • Année de sortie: 2009
  • Langue: italien
  • Durée: 4:09

Voici les paroles de la chanson : Carovane , artiste : Sergio Cammariere Avec traduction

Paroles : Carovane "

Texte original avec traduction

Carovane

Sergio Cammariere

Оригинальный текст

E' fatta!

E così presto

Rammento l’armatura

Su cui si stende il tuo vermiglio manto

Caduto al suolo nella brulicante arsura

Di mille paleontologi in disparte

Si fanno largo in mezzo alle alte mura

Uomini e donne atterriti dalla sorte

Pagano il prezzo che Libertà li accolse

Ombre nel vuoto della nomenclatura

Strisciano il fondo tra serpenti ubriachi

Occhi di madreperla e cuori infranti

Restano feriti dall’usura

Di un cielo di volatili ondeggiante

Per questo e per mutevoli sentieri

Cadono le stelle degli amanti

A ricordar' che dove tutto sembra vero

E' solo un sogno a cui si affrettano distanti

Le carovane cariche d’oblio

Lo spirito recando in altrettanti

Luoghi dove indomìto è il desìo

E la campana suona un’ora avanti

Chi può tra queste oasi di rimpianto

Dice il suo verso e giura devozione

Colui che ascolta si ferma o torna indietro

Ma non c'è niente di nuovo che si oppone

Tra me e questi lamenti di sciamani

Restano lì come impaurite oppure assorte

Le maschere dai cuori riluttanti

E i carri degli Achei pronti alla morte

Stazioni e treni sono i mesi e gli anni

Si fermano e ripartono ogni ora

Lasciando dietro a sé solo il ricordo

Di un impossibile rincorsa che avvalora

La tesi di cui qui trasformo in canto

Il segno che rimane e non consola

La mela da cui Eva staccò il morso

E più mi perdo e più mi riconosco

Перевод песни

C'est fait!

Et si tôt

Je me souviens de l'armure

Sur lequel s'étend ton manteau vermeil

Tombé au sol dans la chaleur étouffante

D'un millier de paléontologues en marge

Ils se frayent un chemin à travers les hauts murs

Des hommes et des femmes terrifiés par le destin

Ils paient le prix que Liberty les a acceptés

Ombres dans le vide de la nomenclature

Ils rampent au fond parmi les serpents ivres

Yeux de nacre et coeurs brisés

Ils sont lésés par l'usure

D'un ciel d'oiseaux qui se balancent

Pour cela et pour changer de chemin

Les étoiles des amoureux tombent

Pour se souvenir que là où tout semble vrai

C'est juste un rêve dont ils se dépêchent

Les caravanes chargées d'oubli

L'esprit qui attire autant

Des lieux où le désir est indomptable

Et la cloche sonne une heure à l'avance

Qui peut parmi ces oasis de regret

Il dit son couplet et jure dévotion

L'auditeur s'arrête ou se retourne

Mais il n'y a rien de nouveau qui s'oppose

Entre moi et ces gémissements de chamans

Ils restent là comme effrayés ou absorbés

Les masques aux coeurs réticents

Et les chars des Achéens prêts à mourir

Les gares et les trains sont les mois et les années

Ils s'arrêtent et partent toutes les heures

Ne laissant que le souvenir

D'un élan impossible qui valide

La thèse dont je transforme en chanson ici

Le signe qui reste et ne console pas

La pomme dont Eve a mordu

Et plus je me perds, plus je me reconnais

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