Voici les paroles de la chanson : Home Life , artiste : Shearwater Avec traduction
Texte original avec traduction
Shearwater
When you were a child,
you were a tomboy.
And your mother laughed at the serious way
that you looked at her.
And from your window at night
there were the star’s little fires
and the armory lights.
You were tracing the lines
of a globe with your fingers:
Cool rivers, white wastes,
desert shores, and the forest green.
And a limitless life,
in the breath of each tide.
And the bright mountain rising.
Now the boys are away,
and such kicks they are having;
Slashing away at this forest’s walls
with their bitter knives.
Sparks bloom in their eyes
and they never look tired.
Will they never look tired?
On cliffs that tower from the rising seas
their bonfires glow
where a tiger lies.
And, cleaning their weapons,
they laugh at his useless
claws, and all:
It is a beautiful night
to be born to this life.
And grind his every bone to powder!
Do you remember?
Do you remember?
She carried you down to the edge
of the dark river and said:
Though the water is wide,
you will never grow tired.
You are bound to your life
like a mother and child.
You will cling to your life
like a suckering vine.
And like the rest of your kind
you will increase, and increase,
past all of our dreaming.
Horse without rider.
Lungs without breathing.
Day without light.
Song without singing.
A song…
Quand vous étiez un enfant,
tu étais un garçon manqué.
Et ta mère a ri de la manière sérieuse
que vous l'avez regardée.
Et de ta fenêtre la nuit
il y avait les petits feux de l'étoile
et les lumières de l'armurerie.
Tu traçais les lignes
d'un globe avec vos doigts :
Rivières fraîches, déchets blancs,
rivages désertiques et le vert de la forêt.
Et une vie sans limites,
dans le souffle de chaque marée.
Et la montagne lumineuse qui s'élève.
Maintenant les garçons sont partis,
et de tels coups de pied qu'ils ont ;
Découpant les murs de cette forêt
avec leurs couteaux amers.
Des étincelles fleurissent dans leurs yeux
et ils n'ont jamais l'air fatigués.
N'auront-ils jamais l'air fatigués ?
Sur les falaises qui dominent la montée des mers
leurs feux de joie brillent
où se trouve un tigre.
Et, nettoyant leurs armes,
ils se moquent de son inutilité
griffes, et tout :
C'est une belle nuit
être né à cette vie.
Et broyer tous ses os en poudre !
Vous souvenez-vous?
Vous souvenez-vous?
Elle t'a porté jusqu'au bord
de la rivière sombre et dit :
Bien que l'eau soit large,
vous ne vous lasserez jamais.
Vous êtes lié à votre vie
comme une mère et son enfant.
Vous vous accrocherez à votre vie
comme une vigne drageonnante.
Et comme le reste de votre espèce
tu augmenteras, et augmenteras,
passé tous nos rêves.
Cheval sans cavalier.
Poumons sans respiration.
Jour sans lumière.
Chanson sans chanter.
Une chanson…
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