Je Me Souviens - Silverstein

Dear Mother can you hear my footsteps?

I’m so close, I’m right there

I’m almost home, so unprepared

To notice yet ignore how hard it is to be around you

I’ve came clean, I’m washed out

I’ve flooded the engine, stranded myself

This home, native land, they speak in words I can’t understand

So when I’m standing on this street like I have a hundred times

You don’t even glance at me you just pass me by

I remember your face, from the moment I first saw you

I never looked away

I’ll never forget how you looked that Saturday when you told me

We could never be together, and I could never change

Mother, Mother is it you who’s calling?

Lights out, lay down

We’ll sleep when we’re dead, that time is now

But soft speak will drown out how I can’t do what’s right around you

Cold breeze, no coat, excuses used to take words from my throat.

False hope confirmed

Deceits a language I can’t hope to learn

So when we’re standing on this street like we have a hundred times

We will celebrate the years you stalled and couldn’t decide

I remember your face, from the moment I first saw you

I never looked away

I’ll never forget how you looked that Saturday when you told me

We could never be together, and I could never change

I used to believe that every person had a purpose

In this swirling ball of indecision that consumes us all

I used to believe that every person had a person

They could always count on and not be scared of, one for everyone

So when I’m standing on this street like I have a hundred times

Can I walk away and finally leave, finally leave all of this behind?

I remember your face, from the moment I first saw you

I never looked away

I’ll never forget how you looked that Saturday when you told me

We could never be together, and I could never change

I remember your face, from the moment I first saw you

I never looked away

I’ll never forget how you looked that Saturday when you told me

We could never be together, and I could never change

Chère Mère, entends-tu mes pas ?

Je suis si proche, je suis juste là

Je suis presque à la maison, donc pas préparé

Pour remarquer mais ignorer à quel point il est d'être autour de vous

Je suis venu propre, je suis lavé

J'ai inondé le moteur, je me suis échoué

Cette maison, cette terre natale, ils parlent avec des mots que je ne peux pas comprendre

Alors quand je me tiens dans cette rue comme si j'avais cent fois

Tu ne me regardes même pas, tu me dépasses

Je me souviens de ton visage, depuis le moment où je t'ai vu pour la première fois

Je n'ai jamais détourné le regard

Je n'oublierai jamais à quoi tu ressemblais ce samedi quand tu m'as dit

Nous ne pourrions jamais être ensemble, et je ne pourrais jamais changer

Maman, maman, c'est toi qui appelles ?

Lumières éteintes, allongez-vous

Nous dormirons quand nous serons morts, ce moment est maintenant

Mais les paroles douces étoufferont le fait que je ne peux pas faire ce qui est juste autour de toi

Brise froide, pas de manteau, des excuses utilisées pour m'ôter les mots de la gorge.

Faux espoir confirmé

Trompe une langue que je ne peux pas espérer apprendre

Alors quand nous nous tenons dans cette rue comme si nous avions des centaines de fois

Nous célébrerons les années où vous avez stagné et n'avez pas pu décider

Je me souviens de ton visage, depuis le moment où je t'ai vu pour la première fois

Je n'ai jamais détourné le regard

Je n'oublierai jamais à quoi tu ressemblais ce samedi quand tu m'as dit

Nous ne pourrions jamais être ensemble, et je ne pourrais jamais changer

J'avais l'habitude de croire que chaque personne avait un but

Dans cette boule d'indécision tourbillonnante qui nous consume tous

J'avais l'habitude de croire que chaque personne avait une personne

Ils pouvaient toujours compter sur et ne pas avoir peur d'eux, un pour tout le monde

Alors quand je me tiens dans cette rue comme si j'avais cent fois

Puis-je m'éloigner et enfin partir, enfin laisser tout cela derrière ?

Je me souviens de ton visage, depuis le moment où je t'ai vu pour la première fois

Je n'ai jamais détourné le regard

Je n'oublierai jamais à quoi tu ressemblais ce samedi quand tu m'as dit

Nous ne pourrions jamais être ensemble, et je ne pourrais jamais changer

Je me souviens de ton visage, depuis le moment où je t'ai vu pour la première fois

Je n'ai jamais détourné le regard

Je n'oublierai jamais à quoi tu ressemblais ce samedi quand tu m'as dit

Nous ne pourrions jamais être ensemble, et je ne pourrais jamais changer