Stab - Six Feet Under

Alone this night an empty street I hunt you like you’re dead already stripped

Of skin and innards… the carnage will begin I’ve got a knife I want to stab

right

Through your face I cut your neck in half

And take out each eye from your head

With a screwdriver breaking through the back of the skull with each swing I take

I release my hate now unburied with each drop of blood I spill I will own your

Soul leaving you upside down hanging from dissected legs like a rotten animal

Stab wounds through your chest

I’ve got a knife

I want to stab right through your face

I cut your neck in half

And take out each eye from your head

With a screwdriver breaking through the back of the skull

You die!

Death to this body

Draining the empty rotting hole

Death to this body

And awaken the demon soul

Alone this deadly night

The last night that you’ll breathe

I await the next fresh kill

The last night that your heart will ever beat

With each swing that I take I release my death

Seul cette nuit dans une rue vide, je te chasse comme si tu étais mort déjà dépouillé

De la peau et des entrailles… le carnage va commencer J'ai un couteau que je veux poignarder

à droite

À travers ton visage, je coupe ton cou en deux

Et ôte chaque œil de ta tête

Avec un tournevis perçant l'arrière du crâne à chaque swing que je prends

Je libère ma haine maintenant sans sépulture avec chaque goutte de sang que je répandrai, je posséderai votre

L'âme te laissant la tête en bas suspendue à des jambes disséquées comme un animal pourri

Poignarder des blessures à travers votre poitrine

j'ai un couteau

Je veux te poignarder le visage

Je t'ai coupé le cou en deux

Et ôte chaque œil de ta tête

Avec un tournevis traversant l'arrière du crâne

Tu meurs!

Mort à ce corps

Vidange du trou pourri vide

Mort à ce corps

Et réveillez l'âme du démon

Seul cette nuit mortelle

La dernière nuit où tu respireras

J'attends la prochaine mise à mort

La dernière nuit où ton coeur battra jamais

À chaque swing que je prends, je libère ma mort