Stringybark And Greenhide - Slim Dusty

Now the aeroplanes go screaming across the blue skies overhead

And the big trucks cross the nation night and day

While satellites bring TV to the homesteads in the bush

And the limousines replace the horse and dray

But our pioneering fathers had no comforts such as these

They faced hardship with their women by their side

With no wire or nails to help them in the vastness of the bush

They built stockyards out of lancewood and greenhide

And the cattle walked to market on the stock routes of the west

And a man was judged by the way he used to ride

And the Afghans with their camels were the road trains of the bush

They built a nation out of stringy and greenhide

Hey

And with stringybark and mud daub they built the old bark hut

And the shantys on the roadside by the way

Oh they cleared the land and felled the trees with crosscut and the axe

And with greenhide whip the bullocky held sway

Oh they took their mobs of cattle and their spreading flocks of sheep

And no mountain range or desert held them back

Oh the battled thirst and heat in their bid to tame this land

And the silent watchful ever stalking black

And the cattle walked to market on the stock routes of the west

And a man was judged by the way he used to ride

And the Afghans with their camels were the road trains of the bush

They built a nation out of stringy and greenhide

Hey

When no barbed wire bound the wide domains of the western cattle runs

And the men were as wild as the land they used to roam

Oh the greenhide rope and bridle were the stockmen’s tools of trade

And a stringybark bush shelter was their home

And when fine young men rode walers off to fight their countries war

And made history with their suffering and their pain

Oh they wrote the name Australia in the headlines of the world

Will this country ever see their likes again?

Maintenant, les avions hurlent dans le ciel bleu au-dessus de nos têtes

Et les gros camions traversent la nation nuit et jour

Tandis que les satellites amènent la télévision dans les fermes de la brousse

Et les limousines remplacent le cheval et le chariot

Mais nos pères pionniers n'avaient pas de tels conforts

Ils ont fait face à des difficultés avec leurs femmes à leurs côtés

Sans fil ni clous pour les aider dans l'immensité de la brousse

Ils ont construit des parcs à bestiaux en bois de lance et en cuir vert

Et le bétail marchait vers le marché sur les routes du bétail de l'ouest

Et un homme était jugé par la façon dont il conduisait

Et les Afghans avec leurs chameaux étaient les trains routiers de la brousse

Ils ont construit une nation à partir de filandreux et de peau verte

Hé

Et avec de l'écorce filandreuse et du torchis de boue, ils ont construit la vieille hutte d'écorce

Et les cabanes sur le bord de la route d'ailleurs

Oh ils ont défriché la terre et abattu les arbres avec du tronçonnage et la hache

Et avec le fouet en cuir vert, le taureau a dominé

Oh ils ont pris leurs foules de bétail et leurs troupeaux de moutons

Et aucune chaîne de montagnes ou désert ne les a retenus

Oh la soif et la chaleur combattues dans leur tentative d'apprivoiser cette terre

Et le noir attentif et silencieux qui traque toujours

Et le bétail marchait vers le marché sur les routes du bétail de l'ouest

Et un homme était jugé par la façon dont il conduisait

Et les Afghans avec leurs chameaux étaient les trains routiers de la brousse

Ils ont construit une nation à partir de filandreux et de peau verte

Hé

Quand aucun fil de fer barbelé ne délimitait les vastes domaines des parcours de bétail de l'Ouest

Et les hommes étaient aussi sauvages que la terre qu'ils avaient l'habitude de parcourir

Oh la corde et la bride en peau verte étaient les outils de commerce des éleveurs

Et un abri de brousse en écorce filandreuse était leur maison

Et quand de beaux jeunes hommes montaient des marches pour combattre la guerre de leur pays

Et fait l'histoire avec leur souffrance et leur douleur

Oh ils ont écrit le nom Australie dans les gros titres du monde

Ce pays reverra-t-il jamais ses goûts ?