Let the Blade Do the Work - Slow Club

Just another town that might never recover

Just another friend who’s gone and lost his mind

Just another sunset from the city trains

We ride it free to the end of the line

It’s just a, just another wasted attempt

Laying sideways in the harbor

While all the men are out at sea

You say you don’t want trouble

That you’ve left that life behind

But you’ve got trouble here with a capital «T»

It’s like this every time

You know it’s like this every time

It’s always like this every time

It’s always like this

It’s always like this

So looking out across the formless frontiers

I scream your name down five broken valleys

I paint a picture of a glass-hearted girl with

Promises too numerous to tally and

In the search light that’s been cheapening the midnight sky

I think of you and how you had that troubled start

But you never let it wash you away

To a town where you didn’t speak the language

And if it did you’d always know what to say, say

Let the blade do the work

Let the blade, let the blade do the work

Let the blade, let the blade do the work

Let the blade, let the blade do the work

For years now, all I’ve heard is «heave-ho»

We’ve got two good cars down on the beach row

And with a little bit of luck we assume

I’ll be going home

With no blood on my hands

I’ve got blood on my hands

So laying down beneath, a pregnant pause

And in the constant coverage of the wars

We never hear of what’s been learned

It’s just a thousand rocks left to un-turn

And in her monument she is sleeping in her clothes tonight

And waking up before the sun has a chance to rise

To write her mantra across the skies

It reads pick up the wrench if it’s a victimless crime

It’s like this every time

You know it’s like this every time

It’s always like this every time

It’s always like this

It’s always like this

Juste une autre ville qui pourrait ne jamais récupérer

Juste un autre ami qui est parti et a perdu la tête

Juste un autre coucher de soleil depuis les trains de la ville

Nous roulons gratuitement jusqu'au bout de la ligne

C'est juste une, juste une autre tentative ratée

Couché sur le côté dans le port

Pendant que tous les hommes sont en mer

Tu dis que tu ne veux pas d'ennuis

Que tu as laissé cette vie derrière

Mais vous avez du mal ici avec un "T" majuscule

C'est comme ça à chaque fois

Tu sais que c'est comme ça à chaque fois

C'est toujours comme ça à chaque fois

C'est toujours comme ça

C'est toujours comme ça

Alors regardant à travers les frontières sans forme

Je crie ton nom dans cinq vallées brisées

Je peins l'image d'une fille au cœur de verre avec

Des promesses trop nombreuses pour compter et

Dans la lumière de recherche qui déprécie le ciel de minuit

Je pense à toi et à la façon dont tu as eu ce début difficile

Mais tu ne le laisses jamais te laver

Dans une ville dont vous ne parliez pas la langue

Et si c'était le cas, tu saurais toujours quoi dire, dis

Laissez la lame faire le travail

Laisse la lame, laisse la lame faire le travail

Laisse la lame, laisse la lame faire le travail

Laisse la lame, laisse la lame faire le travail

Depuis des années, tout ce que j'entends, c'est "heave-ho"

Nous avons deux bonnes voitures sur la plage

Et avec un peu de chance, nous supposons

je vais rentrer à la maison

Sans sang sur mes mains

J'ai du sang sur les mains

Alors allongé en dessous, une pause enceinte

Et dans la couverture constante des guerres

Nous n'entendons jamais parler de ce qui a été appris

Il ne reste plus qu'un millier de rochers à défaire

Et dans son monument, elle dort dans ses vêtements ce soir

Et se réveiller avant que le soleil ait une chance de se lever

Pour écrire son mantra à travers les cieux

Il lit ramasser la clé s'il s'agit d'un crime sans victime

C'est comme ça à chaque fois

Tu sais que c'est comme ça à chaque fois

C'est toujours comme ça à chaque fois

C'est toujours comme ça

C'est toujours comme ça