Dim And Slimeridden Kingdoms - Slugdge

Decrepit ruins, an ancient fane in disarray

Rivers of cadaverine snake below obsidian palisades

Bathed in an ill moonlight, igneous spires breaching the louring sky

Resident to dark terrors both malevolent and unseen

Haunted through the heart of darkness

By horrors unknown

A nightmare that never subsides

Wading through wastelands of bone

Sojourn in galleries of anguish searching for wisdom’s elusive pearl

Lost in a lonesome city, witness the last gasp of a dying world

Statues lie broken, shattered in conflicts fought long ago

Roots reaching into black trenches

Reclaiming the earth from the stone

The rancour in its construction outlived its architects

Labyrinthine and monolithic, hallowed hall of the dead

City of shades, a pale reflection of it’s past glory

Where the dead ever roam in the crumbling halls

Now entombed by their greed delving far too deep

Down where fiends never sleep and the light can’t reach

Twisted creatures rend and flay, draped in skins in their sick masquerade

Flesh stripped victims to discard, butchered for amusement in this cursed

abattoir

Dank baneful chasms, caliginous and bare

Where hope is exiguous, all are prone to despair

Where the ill-fated wander in the land of the Pod

Ever crawling in circles beaten back by a dense freezing fog

Ruines décrépites, un ancien fane en désordre

Des rivières de serpent cadavérine sous les palissades d'obsidienne

Baignés d'un clair de lune malade, des flèches ignées perçant le ciel sombre

Résident de terreurs noires à la fois malveillantes et invisibles

Hanté au cœur des ténèbres

Par des horreurs inconnues

Un cauchemar qui ne s'apaise jamais

Pataugeant dans les déserts d'os

Séjournez dans des galeries d'angoisse à la recherche de la perle insaisissable de la sagesse

Perdu dans une ville solitaire, assistez au dernier soupir d'un monde mourant

Les statues sont brisées, brisées dans des conflits combattus il y a longtemps

Racines pénétrant dans les tranchées noires

Récupérer la terre de la pierre

La rancœur de sa construction a survécu à ses architectes

Labyrinthique et monolithique, salle sacrée des morts

Ville d'ombres, pâle reflet de sa gloire passée

Où les morts errent dans les couloirs en ruine

Maintenant ensevelis par leur cupidité plongeant bien trop profondément

Là où les démons ne dorment jamais et où la lumière ne peut pas atteindre

Des créatures tordues déchirent et écorchent, drapées de peaux dans leur mascarade malade

Des victimes dépouillées de chair pour s'en débarrasser, massacrées pour s'amuser dans ce maudit

abattoir

D'humbles gouffres funestes, caligineux et nus

Là où l'espoir est exigu, tous sont sujets au désespoir

Où les malheureux errent au pays de la Cosse

Rampant toujours en cercles repoussés par un épais brouillard givrant