The Observer - Soliloquium

Shake the disease lingering inside

Delayed reaction, the dread of expecting eyes

Withstanding weakness, weighed down in affliction

A grueling task in the best of times

Carried the burden, straining for a befitting answer

As time escaped me and senses grew pale

Lost in trains of thought, epiphanies beyond your distant smile

The noise of the world, I long to join them but dread every sound

To take the steps prescribed, clinging to solid ground

Living like I wasn’t ever here

To wander wayward empty still, to feel no calling strong enough

To watch the best of intensions wither

The end is nigh, my friend

Please let me sleep

The defect’s roaring storm, white noise and repetition

Here I stand as the observer, the empty frame

Secouez la maladie persistante à l'intérieur

Réaction retardée, la peur d'attendre des yeux

Résister à la faiblesse, alourdi par l'affliction

Une tâche épuisante dans le meilleur des cas

Porté le fardeau, s'efforçant d'obtenir une réponse appropriée

Alors que le temps m'échappait et que les sens pâlissaient

Perdu dans des trains de pensées, des épiphanies au-delà de ton sourire distant

Le bruit du monde, j'aspire à les rejoindre mais redoute chaque son

Prendre les mesures prescrites, en s'accrochant à un sol solide

Vivre comme si je n'avais jamais été là

Pour errer capricieux encore vide, ne sentir aucun appel assez fort

Pour regarder le meilleur des intentions s'estomper

La fin est proche, mon ami

S'il te plaît, laisse-moi dormir

L'orage rugissant du défaut, le bruit blanc et la répétition

Ici, je me tiens comme l'observateur, le cadre vide