Voici les paroles de la chanson : A Hearse With No Name , artiste : Soulfallen Avec traduction
Texte original avec traduction
Soulfallen
«Some believe that life is merely a sad dream
From which death us awakes
If so, the herald of dawn already walks among us…»
Within these visions, I drown once more
Each day more violent than before
(I hear) wolves howling behind every door
And footsteps on an empty floor
Embraced by the sun’s stygian light
My dreams, they come with open eyes
Loss of the blissful days of yore
The loss of all that we adore
Resounding to death’s violent score
I saw it all, but there was more…
For a new kind of shadow walks among us
Unbound by laws of light and shade
Bearing its mark on both beasts and man
A herald to our world’s descent
To no masters it bows down or hails
For with death itself, this rider trails
I saw as it came, a hearse with no name
New suns were born as the old ones gave away
I saw as it came, bearing the mark of Cain
And watched the world succumb to ancient flames…
Only two remain as the music fades
But no curtains fall upon this dying stage
Only two remain, grotesque lifeless facades
Made of only ash — before the winds blew them away…
The vision fades
And the sweet arms of reality surround me once again
But I see a cold future
That lurks behind these walls, awaiting to descend…
"Certains pensent que la vie n'est qu'un triste rêve
De quelle mort nous nous réveillons
Si c'est le cas, le héraut de l'aube marche déjà parmi nous… »
Dans ces visions, je me noie une fois de plus
Chaque jour plus violent qu'avant
(J'entends) des loups hurler derrière chaque porte
Et des pas sur un sol vide
Embrassé par la lumière stygienne du soleil
Mes rêves, ils viennent les yeux ouverts
Perte des jours heureux d'autrefois
La perte de tout ce que nous adorons
Résonnant jusqu'au score violent de la mort
J'ai tout vu, mais il y avait plus...
Pour un nouveau type d'ombre marche parmi nous
Non lié par les lois de la lumière et de l'ombre
Portant sa marque à la fois sur les bêtes et sur l'homme
Un héraut de la descente de notre monde
Devant aucun maître, il se prosterne ou salue
Car avec la mort elle-même, ce cavalier traîne
J'ai vu comme il venait, un corbillard sans nom
De nouveaux soleils sont nés alors que les anciens cédaient
J'ai vu comme il venait, portant la marque de Caïn
Et j'ai vu le monde succomber aux flammes anciennes…
Il n'en reste que deux alors que la musique s'estompe
Mais aucun rideau ne tombe sur cette étape mourante
Il n'en reste que deux, grotesques façades sans vie
Faits uniquement de cendres - avant que les vents ne les emportent…
La vision s'estompe
Et les doux bras de la réalité m'entourent à nouveau
Mais je vois un avenir froid
Qui se cache derrière ces murs, attendant de descendre…
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