Shards - Starkweather

Summon forth the rain wash away the filth I can blanch memories I

Can’t cleanse my soul Summon forth the flames, strip flesh from bone I

Can’t slough memories they’re like second skin One cut for memory

Another for hope I’m probing for answers Can only strike a nerve

Cutting cables Unloading dead weight Until nothing remains An innate

Self-loathing pouring from every aperture These holes in my skin let

The darkness out Let it flow These holes in my skin let the darkness

Out Let it flow There’s nothing less in this world than what I think

Of myself A broken man Paint a picture of a broken man Search — For a

Reason Probe deep Strike a nerve The scars have faded weathered away

Through the years All memories remain intact, clear Crystalline and

Unpure Cutting cables, Unloading dead weight until nothing remains

These holes in my skin let the darkness out let it flow In rivulets of

Blood that flow down my arms Into the drain Rivulets of blood flow

Down my arms Into the drain An innate self-loathing pouring from every

Aperture Never a truer feeling than pain To assure me I’m alive

Invoquez la pluie, nettoyez la saleté, je peux blanchir les souvenirs, je

Je ne peux pas purifier mon âme Invoquer les flammes, dépouiller la chair de l'os I

Je ne peux pas effacer les souvenirs, ils sont comme une seconde peau, une coupe pour la mémoire

Un autre pour l'espoir, je cherche des réponses Je ne peux que frapper un nerf

Couper les câbles Décharger les poids morts Jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien

Le dégoût de soi coule de chaque ouverture Ces trous dans ma peau laissent

L'obscurité s'évanouit, laisse couler Ces trous dans ma peau laissent passer l'obscurité

Il n'y a rien de moins dans ce monde que ce que je pense

De moi Un homme brisé Peindre l'image d'un homme brisé Rechercher — Pour un

Reason Probe deep Frappe un nerf Les cicatrices se sont estompées

Au fil des ans, tous les souvenirs restent intacts, clairs, cristallins et

Câbles de coupe non purs, déchargement du poids mort jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien

Ces trous dans ma peau laissent sortir l'obscurité, la laissent couler dans des ruisseaux de

Du sang qui coule dans mes bras Dans le drain Des ruisseaux de sang coulent

Dans mes bras Dans le drain Un dégoût de soi inné se déversant de chaque

Jamais un sentiment plus vrai que la douleur pour m'assurer que je suis vivant