Voici les paroles de la chanson : The Wife Of Ushers Well , artiste : Steeleye Span Avec traduction
Texte original avec traduction
Steeleye Span
There lived a wife in Usher’s Well
A wealthy wife was she
She had three stout and stalwart sons
And sent them o’er the sea
They had not been from Usher’s Well
A week but barely one
When word came to this carline wife
That her three sons were gone
«I wish the wind may never, never cease
Nor flashes in the flood
Till my three sons return to me
In earthly flesh and blood
Earthly flesh and blood.»
It fell about the Martinmas
The nights were long and dark
Three sons came home to Usher’s Well
Their hats were made of bark
That neither grew in forest green
Nor on any wooded rise
But from the north side of the tree
That grows in Paradise
«Blow up the fire, my merry, merry maidens
Bring water from the well
For all my house shall feast this night
Since my three sons are well.»
Then up and crowed the blood red cock
And up and crowed the grey
The oldest to the youngest said
«It's time we were away—
«For the cock does crow and the day doth show
And the channering worm doth chide
And we must go from Usher’s Well
To the gates of Paradise.»
«I wish the wind may never, never cease
Nor flashes in the flood
Till my three sons return to me
In earthly flesh and blood
Earthly flesh and blood.»
Il vivait une femme dans Usher's Well
Une épouse riche était-elle
Elle avait trois fils robustes et vaillants
Et les a envoyés sur la mer
Ils n'étaient pas de Usher's Well
Une semaine mais à peine une
Quand le mot est venu à cette femme carline
Que ses trois fils étaient partis
"Je souhaite que le vent ne cesse jamais, jamais
Ni clignote dans le déluge
Jusqu'à ce que mes trois fils me reviennent
En chair et en os terrestres
Chair et sang terrestres.»
C'est tombé à propos de la Saint-Martin
Les nuits étaient longues et sombres
Trois fils sont rentrés à Usher's Well
Leurs chapeaux étaient faits d'écorce
Que ni l'un ni l'autre ne poussaient dans la forêt verte
Ni sur une élévation boisée
Mais du côté nord de l'arbre
Qui pousse au paradis
"Soufflez le feu, mes joyeuses, joyeuses jeunes filles
Apporter de l'eau du puits
Car toute ma maison festoiera cette nuit
Puisque mes trois fils vont bien. »
Puis s'est levé et a chanté le coq rouge sang
Et s'est levé et a chanté le gris
Le plus ancien au plus jeune a dit
"Il est temps que nous partions—
« Car le coq chante et le jour se montre
Et le ver chamailleur réprimande
Et nous devons partir du puits d'Usher
Aux portes du paradis."
"Je souhaite que le vent ne cesse jamais, jamais
Ni clignote dans le déluge
Jusqu'à ce que mes trois fils me reviennent
En chair et en os terrestres
Chair et sang terrestres.»
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