Fall in Love - Steve Kilbey

I knew this man, he had some kind of fatal affliction

Each day, a tiny particle, a small drop of his soul, leaked or

Escaped into the air, out beyond the insipid the gray sky and

Into dead space

The paranormal specialist could find no way to plug the tiny perforations

Which dripped his spirit behind him as he went on down the highway

Fall in love with me, fall in love with me

It’s not impossible

Fall in love with me, fall in love with me

It’s not impossible

It was attributed to hashish and opium addiction, excessive womanizing

Lashings of money and flattery, and a charmed, but not charming life

Who can describe the agony of this gradual soul depletion?

Too cowardly to take his own life, he roamed the cafes and cabarets

Searching out other wretches who shared his most hideous malady

And they spent their days in sophistry and idle banter, as their

Essence oozed, and the void moved ever closer

Fred, the man, charlatan bastard, poor piteous doomed puppet

Immersed himself in these vices, but this only exacerbated his

Demise more rapidly

Eventually he could derive pleasure from nothing, the most lurid

Pornography or the most holy scriptures failed to arouse him from his

Stupor, his boredom

Great cities, or the endless beautiful plains stretched out before

His jaded gaze and disappeared into the nothingness of his feeling

Je connaissais cet homme, il avait une sorte de maladie mortelle

Chaque jour, une minuscule particule, une petite goutte de son âme, fuit ou

Échappé dans les airs, au-delà de l'insipide le ciel gris et

Dans l'espace mort

Le spécialiste du paranormal n'a trouvé aucun moyen de boucher les minuscules perforations

Qui a laissé couler son esprit derrière lui alors qu'il continuait sur l'autoroute

Tombe amoureux de moi, tombe amoureux de moi

Ce n'est pas impossible

Tombe amoureux de moi, tombe amoureux de moi

Ce n'est pas impossible

Il a été attribué à la dépendance au haschich et à l'opium, à la féminisation excessive

Des coups d'argent et de flatterie, et une vie charmante, mais pas charmante

Qui peut décrire l'agonie de cet épuisement progressif de l'âme ?

Trop lâche pour se suicider, il parcourait les cafés et les cabarets

Cherchant d'autres misérables qui ont partagé sa plus hideuse maladie

Et ils passaient leurs journées à sophistiquer et à plaisanter, tandis que leurs

L'essence a suinté, et le vide s'est rapproché de plus en plus

Fred, l'homme, bâtard de charlatan, pauvre marionnette pitoyable condamnée

S'est plongé dans ces vices, mais cela n'a fait qu'exacerber son

Mort plus rapidement

Finalement, il pourrait tirer du plaisir de rien, le plus sinistre

La pornographie ou les écritures les plus saintes n'ont pas réussi à le réveiller de son

Stupeur, son ennui

Les grandes villes, ou les belles plaines infinies qui s'étendaient devant

Son regard blasé et a disparu dans le néant de ses sentiments