Never to Sit or Stand Again - Superjoint Ritual

Call to the darkness, the wrath of the desert, skulls piled in

A row, why didn’t you see?

carry me back, drag me by foot

Saving my life, slitting her throat, salting her wounds, never to

Sit or stand again, one time

One more mouthful fills it up, like a pig you’re scared to swallow

Inside, culture, (is) sliding

The torture is endless,

Its mental as well as physical designed to last a lifetime,

Within tarot cards that you’ve been dealt.

The wisdom of the usurpers, multiple stab wounds.

Crawling out from underground

Falling out, falling down, dimming lights, hollowed out bloodless

Manaquin reveals the truth,

Even though plastic all emotion is shown.

Drive out, the demons of endless time, the ends of time

Never to sit or stand again.

Calling to something of ever unending, darker than infernal pitch,

Holding us down with rusted cruel nails,

A nail though my cock holds me.

Hanging.

never yielding to the pressure forever something to the

Wolves.

kicking and fighting, forever to the last, mastered by occult.

From the past, die for me every second counts, die for me and learn

To live with out, die for me buried where you stand.

Die for me

The ritual of the damned, kill yourself.

The ultimate wave of battle, lay under the ground, attack from below.

Killing with eyes wide, yesterday was the day.

Brutality marks the end of simple times,

The American smoke screen.

The simplest task forgotten

There’s no way to fight when there’s nothing to fight for.

Bask in your life today, for tomorrow is the madman’s turn, predictions

Will soon begin to unravel quite quickly

Never to sit or stand again.

Appel aux ténèbres, la colère du désert, les crânes entassés

Une rangée, pourquoi n'avez-vous pas vu ?

ramène-moi, traîne-moi à pied

Sauver ma vie, lui trancher la gorge, saler ses blessures, ne jamais

Asseyez-vous ou relevez-vous, une fois

Une bouchée de plus le remplit, comme un cochon que tu as peur d'avaler

Dedans, culture, (se) glisse

La torture est sans fin,

Son mental et son physique sont conçus pour durer toute une vie,

Dans les cartes de tarot qui vous ont été distribuées.

La sagesse des usurpateurs, plusieurs coups de couteau.

Rampant hors du sous-sol

Tomber, tomber, atténuer les lumières, creusé sans effusion de sang

Manaquin révèle la vérité,

Même si le plastique, toutes les émotions sont montrées.

Chassez, les démons du temps sans fin, la fin des temps

Ne plus jamais s'asseoir ou se tenir debout.

Appelant à quelque chose de jamais sans fin, plus sombre qu'un son infernal,

Nous retenant avec des clous cruels rouillés,

Un clou si ma bite me tient.

Suspendu.

ne jamais céder à la pression pour toujours quelque chose au

Loups.

coups de pied et combats, pour toujours jusqu'au dernier, maîtrisés par l'occulte.

Du passé, meurs pour moi chaque seconde compte, meurs pour moi et apprends

Pour vivre sans, meurs pour moi enterré là où tu te tiens.

Mourir pour moi

Le rituel des damnés, tuez-vous.

L'ultime vague de bataille, située sous le sol, attaque par le bas.

Tuer avec les yeux écarquillés, hier était le jour.

La brutalité marque la fin des temps simples,

L'écran de fumée américain.

La tâche la plus simple oubliée

Il n'y a aucun moyen de se battre quand il n'y a rien pour lequel se battre.

Profitez de votre vie aujourd'hui, car demain c'est le tour du fou, les prédictions

Commencera bientôt à s'effondrer assez rapidement

Ne plus jamais s'asseoir ou se tenir debout.