Voici les paroles de la chanson : Neue Ufer , artiste : Tanzwut Avec traduction
Texte original avec traduction
Tanzwut
Staubige Straßen, kein Land in Sicht,
seh' deine Augen, ich seh' dein Gesicht,
wir rennen weiter, tanzen und schreien,
dieser Moment wird nie wieder so sein.
Wir sing wie Feuer, tanzende Schatten,
heulender Wind, pfeifende Ratten,
ein seltsames Lied, das keiner kennt,
das jeden Zweifel für immer verbrennt.
Trink mir das Herz leer, alles ausgelebt,
hab' deine Trauer in Träume gewebt,
lass uns vergessen, nichts mehr verlieren,
bevor wir versteinern und erfrieren.
Wir brechen auf zu neuen Ufern,
weit die Welt sich weiter dreht,
wir brechen auf zu neuen Ufern,
denn es ist ja nie zu spät,
wir brechen auf zu neuen Ufern,
der Regen peitscht uns ins Gesicht,
wir brechen auf zu neuen Ufern,
am Horizont ist Land in Sicht.
Nichts zu verlieren, gejagt und gehetzt,
alles auf eine Karte gesetzt,
süchtig nach Freiheit, den Wahnsinn im Blick,
dreh dich nicht um, es gibt kein zurück.
Trink mir das Herz leer, alles ausgelebt,
hab' deine Trauer in Träume gewebt,
lass uns vergessen, nichts mehr verlieren,
bevor wir versteinern und erfrieren.
Wir brechen auf zu neuen Ufern,
weit die Welt sich weiter dreht,
wir brechen auf zu neuen Ufern,
denn es ist ja nie zu spät,
wir brechen auf zu neuen Ufern,
der Regen peitscht uns ins Gesicht,
wir brechen auf zu neuen Ufern,
am Horizont ist Land in Sicht.
Wir brechen auf zu neuen Ufern,
weit die Welt sich weiter dreht,
wir brechen auf zu neuen Ufern,
denn es ist ja nie zu spät,
wir brechen auf zu neuen Ufern,
der Regen peitscht uns ins Gesicht,
wir brechen auf zu neuen Ufern,
am Horizont ist Land in Sicht.
Routes poussiéreuses, pas de terre en vue
vois tes yeux, je vois ton visage
nous continuons à courir, à danser et à crier,
ce moment ne sera plus jamais le même.
Nous chantons comme le feu, dansant les ombres
hurlement du vent, sifflement des rats,
une chanson étrange que personne ne connaît
qui brûle tous les doutes pour toujours.
Bois mon cœur vide, tout vécu,
J'ai tissé ton chagrin dans des rêves,
oublions, ne perdons plus rien,
avant de pétrifier et de geler à mort.
Nous partîmes pour de nouveaux rivages,
loin le monde continue de tourner
nous partîmes pour de nouveaux rivages,
parce qu'il n'est jamais trop tard
nous partîmes pour de nouveaux rivages,
la pluie fouette nos visages,
nous partîmes pour de nouveaux rivages,
la terre est en vue à l'horizon.
Rien à perdre, chassé et précipité
tout mettre sur une seule carte
accro à la liberté, folie en vue,
ne vous retournez pas, il n'y a pas de retour en arrière.
Bois mon cœur vide, tout vécu,
J'ai tissé ton chagrin dans des rêves,
oublions, ne perdons plus rien,
avant de pétrifier et de geler à mort.
Nous partîmes pour de nouveaux rivages,
loin le monde continue de tourner
nous partîmes pour de nouveaux rivages,
parce qu'il n'est jamais trop tard
nous partîmes pour de nouveaux rivages,
la pluie fouette nos visages,
nous partîmes pour de nouveaux rivages,
la terre est en vue à l'horizon.
Nous partîmes pour de nouveaux rivages,
loin le monde continue de tourner
nous partîmes pour de nouveaux rivages,
parce qu'il n'est jamais trop tard
nous partîmes pour de nouveaux rivages,
la pluie fouette nos visages,
nous partîmes pour de nouveaux rivages,
la terre est en vue à l'horizon.
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