Voici les paroles de la chanson : Deeside , artiste : The Alarm Avec traduction
Texte original avec traduction
The Alarm
The iron gates clang in a steel mill town
A man breaks down to that unemployment sound
He takes a last walk down that old coast road
In the dying death throes of all that he knows
The sight of those men walking through the gates
Was like a lame pit pony at the end of its days
(Fire, Fire, Fire)
In a Deeside town eight thousand went down
In a February day in the driving rain
No winners just losers and cuts and bruises
As the picket lines fell, the industry died
There’s still one question after all this time
Is a working man born to live and then die?
Fire Fire Fire
To build the ships to set the sails
To cross the sea of fools
To be dealt the cards
To play our hand
To win or else to lose
In this cruel world that kicks a man when he’s down
(Down to the ground)
(Hey now)
And Lady Luck smiles on the few in this world
And I hope and I pray that she smiles on you
I ain’t gonna preach, no I ain’t gonna teach
I’m just gonna sing about the things that I need
A little bit of love, a little bit of hope
A little bit of strength, some fuel for the fire
(Fire Fire Fire)
To build the ships to set the sails
To cross the sea of fools
To be dealt the cards
To play our hand
To win or else to lose
In this cruel world that kicks a man when he’s down
(Down to the ground)
A little bit of love, a little bit of hope
A little bit of strength, some fuel for the fire
(Fire Fire Fire)
To build the ships to set the sails
To cross the sea of fools
To be dealt the cards
To play our hand
To win or else to lose
In this cruel world that kicks a man when he’s down
And all around the world the lights are going down
Les portes de fer claquent dans une ville sidérurgique
Un homme s'effondre sur ce son de chômage
Il fait une dernière promenade sur cette ancienne route côtière
Dans l'agonie mourante de tout ce qu'il sait
La vue de ces hommes qui franchissent les portes
Était comme un poney boiteux à la fin de ses jours
(Feu, Feu, Feu)
Dans une ville de Deeside, huit mille personnes sont tombées
Un jour de février sous une pluie battante
Pas de gagnants juste des perdants et des coupures et des ecchymoses
Lorsque les lignes de piquetage sont tombées, l'industrie est morte
Il reste une question après tout ce temps
Un travailleur est-il né pour vivre puis mourir ?
Feu Feu Feu
Pour construire les navires pour mettre les voiles
Traverser la mer des fous
Recevoir les cartes
Pour jouer notre main
Pour gagner ou sinon pour perdre
Dans ce monde cruel qui donne un coup de pied à un homme quand il est à terre
(jusqu'au sol)
(Hey maintenant)
Et Dame Chance sourit aux rares personnes dans ce monde
Et j'espère et je prie pour qu'elle te sourie
Je ne vais pas prêcher, non je ne vais pas enseigner
Je vais juste chanter sur les choses dont j'ai besoin
Un peu d'amour, un peu d'espoir
Un peu de force, un peu de carburant pour le feu
(Feu Feu Feu)
Pour construire les navires pour mettre les voiles
Traverser la mer des fous
Recevoir les cartes
Pour jouer notre main
Pour gagner ou sinon pour perdre
Dans ce monde cruel qui donne un coup de pied à un homme quand il est à terre
(jusqu'au sol)
Un peu d'amour, un peu d'espoir
Un peu de force, un peu de carburant pour le feu
(Feu Feu Feu)
Pour construire les navires pour mettre les voiles
Traverser la mer des fous
Recevoir les cartes
Pour jouer notre main
Pour gagner ou sinon pour perdre
Dans ce monde cruel qui donne un coup de pied à un homme quand il est à terre
Et partout dans le monde les lumières s'éteignent
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