Deeside - The Alarm
С переводом

Deeside - The Alarm

  • Альбом: Strength

  • Год: 2017
  • Язык: Anglais
  • Длительность: 3:10

Voici les paroles de la chanson : Deeside , artiste : The Alarm Avec traduction

Paroles : Deeside "

Texte original avec traduction

Deeside

The Alarm

Оригинальный текст

The iron gates clang in a steel mill town

A man breaks down to that unemployment sound

He takes a last walk down that old coast road

In the dying death throes of all that he knows

The sight of those men walking through the gates

Was like a lame pit pony at the end of its days

(Fire, Fire, Fire)

In a Deeside town eight thousand went down

In a February day in the driving rain

No winners just losers and cuts and bruises

As the picket lines fell, the industry died

There’s still one question after all this time

Is a working man born to live and then die?

Fire Fire Fire

To build the ships to set the sails

To cross the sea of fools

To be dealt the cards

To play our hand

To win or else to lose

In this cruel world that kicks a man when he’s down

(Down to the ground)

(Hey now)

And Lady Luck smiles on the few in this world

And I hope and I pray that she smiles on you

I ain’t gonna preach, no I ain’t gonna teach

I’m just gonna sing about the things that I need

A little bit of love, a little bit of hope

A little bit of strength, some fuel for the fire

(Fire Fire Fire)

To build the ships to set the sails

To cross the sea of fools

To be dealt the cards

To play our hand

To win or else to lose

In this cruel world that kicks a man when he’s down

(Down to the ground)

A little bit of love, a little bit of hope

A little bit of strength, some fuel for the fire

(Fire Fire Fire)

To build the ships to set the sails

To cross the sea of fools

To be dealt the cards

To play our hand

To win or else to lose

In this cruel world that kicks a man when he’s down

And all around the world the lights are going down

Перевод песни

Les portes de fer claquent dans une ville sidérurgique

Un homme s'effondre sur ce son de chômage

Il fait une dernière promenade sur cette ancienne route côtière

Dans l'agonie mourante de tout ce qu'il sait

La vue de ces hommes qui franchissent les portes

Était comme un poney boiteux à la fin de ses jours

(Feu, Feu, Feu)

Dans une ville de Deeside, huit mille personnes sont tombées

Un jour de février sous une pluie battante

Pas de gagnants juste des perdants et des coupures et des ecchymoses

Lorsque les lignes de piquetage sont tombées, l'industrie est morte

Il reste une question après tout ce temps

Un travailleur est-il né pour vivre puis mourir ?

Feu Feu Feu

Pour construire les navires pour mettre les voiles

Traverser la mer des fous

Recevoir les cartes

Pour jouer notre main

Pour gagner ou sinon pour perdre

Dans ce monde cruel qui donne un coup de pied à un homme quand il est à terre

(jusqu'au sol)

(Hey maintenant)

Et Dame Chance sourit aux rares personnes dans ce monde

Et j'espère et je prie pour qu'elle te sourie

Je ne vais pas prêcher, non je ne vais pas enseigner

Je vais juste chanter sur les choses dont j'ai besoin

Un peu d'amour, un peu d'espoir

Un peu de force, un peu de carburant pour le feu

(Feu Feu Feu)

Pour construire les navires pour mettre les voiles

Traverser la mer des fous

Recevoir les cartes

Pour jouer notre main

Pour gagner ou sinon pour perdre

Dans ce monde cruel qui donne un coup de pied à un homme quand il est à terre

(jusqu'au sol)

Un peu d'amour, un peu d'espoir

Un peu de force, un peu de carburant pour le feu

(Feu Feu Feu)

Pour construire les navires pour mettre les voiles

Traverser la mer des fous

Recevoir les cartes

Pour jouer notre main

Pour gagner ou sinon pour perdre

Dans ce monde cruel qui donne un coup de pied à un homme quand il est à terre

Et partout dans le monde les lumières s'éteignent

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