Sphrenia - The Banner

Nothing is real

i see their shadows in the day

i hear the voices and they call my name

i know the demon by her eyes

the ice blue daggers stab

i see the liars with no face

they walk beside while they play their games

i know they’re laughing at my fate

there is no escaping is what they say

i read the writing the on the wall

they leave their poison for me, its not too far

they lead me further down the hall

the doors are open for me, its not too far

sunset.

its getting harder just to see what is real,

this f**king nightmare i feel or what she sends when i wake

i cant tell if its my

heart or the hate

im not sure whats ok

are these friends that i see or something crueler for me?

its all her

i cannot see whats left for me

only the horror that comes to haunt the day

i cannot feel whats real in me

just phantom pain for a heart decayed

i will live forever among these mirrored walls

i will pull the curtain from where my tormentor calls

ill stalk the pale faces whose brought me to my knees

ill grasp her thin white neck as she laughs at me

Rien n'est réel

je vois leurs ombres dans la journée

j'entends les voix et elles appellent mon nom

je connais le démon par ses yeux

les poignards bleu glacier poignardent

je vois les menteurs sans visage

ils marchent à côté pendant qu'ils jouent à leurs jeux

Je sais qu'ils se moquent de mon destin

il n'y a pas d'échappatoire c'est ce qu'ils disent

je lis l'écriture sur le mur

ils laissent leur poison pour moi, ce n'est pas trop loin

ils me conduisent plus loin dans le couloir

les portes sont ouvertes pour moi, ce n'est pas trop loin

le coucher du soleil.

c'est de plus en plus difficile de voir ce qui est réel,

ce putain de cauchemar que je ressens ou ce qu'elle envoie quand je me réveille

je ne peux pas dire si c'est mon

le cœur ou la haine

je ne sais pas ce qui va bien

sont ces amis que je vois ou quelque chose de plus cruel pour moi ?

c'est tout elle

je ne peux pas voir ce qui me reste

seulement l'horreur qui vient hanter la journée

je ne peux pas ressentir ce qui est réel en moi

juste une douleur fantôme pour un cœur en décomposition

Je vivrai pour toujours parmi ces murs en miroir

Je tirerai le rideau d'où mon bourreau m'appelle

Je traque mal les visages pâles qui m'ont mis à genoux

mal saisir son mince cou blanc alors qu'elle se moque de moi