Ouroboros - The Dear Hunter

I bet you thought that you’d succeed

Pulling the wool right over me

Hard to believe this snake stayed in the grass

Just long enough to catch the rabbit’s feet

With telescoping glances, hands romanced, enticing you to keep

Laboring against the clock in spite of secrecy

You couldn’t know, revealed itself to me

The second you decided to compete

I fell down and I fell apart

«I never wanted to hurt no one, I never wanted to be your city’s son»

Then I cried out to his crooked heart

«I never wanted to hurt no one… no one but you»

I bet you thought that you could breathe

A satisfied sigh of relief

A terrible thing, forgetting where you came from

Or have you trouble when you fall asleep?

I’ve seen you fabricate, manipulate and here, you masquerade

But if we’re poaching ghosts, you know I’ve got a few that I would raise

Settle yourself;

as long as I’m protected

You can bet your secret’s safe with me

I fell down and I fell apart

«I never wanted to hurt no one, I never wanted to be your city’s son»

Then I cried out to his crooked heart

«I never wanted to hurt no one… no one but you!»

Lost my soul in the place of the great deceiver

Foolish hearts led foolish plans awry;

they told me:

«Don't veer far from your home, try never to leave her»

Near, I landed;

here I’ll live and die

Traveled too far from the River’s side

But it wasn’t long before I felt nothing below me

And all of the ground I thought I’d gained, taken away

I thought I was strong, not strong enough, my mettle was bending

Foolish plans kissed foolish hearts goodbye

Traveled too far from the River’s side

Je parie que vous pensiez que vous réussiriez

Tirer la laine juste sur moi

Difficile de croire que ce serpent est resté dans l'herbe

Juste assez longtemps pour attraper les pattes du lapin

Avec des regards télescopiques, des mains romancées, vous incitant à garder

Travailler contre la montre malgré le secret

Tu ne pouvais pas savoir, s'est révélé à moi

La seconde où vous avez décidé de concourir

Je suis tombé et je me suis effondré

« Je n'ai jamais vou blessé personne , je n'ai jamais vou être le fils de ta ville »

Puis j'ai crié à son cœur tordu

« Je n'ai jamais voulu blesser personne… personne d'autre que toi »

Je parie que tu pensais que tu pouvais respirer

Un soupir de soulagement satisfait

Une chose terrible, oublier d'où vous venez

Ou avez-vous du mal à vous endormir ?

Je t'ai vu fabriquer, manipuler et là, tu te mascarades

Mais si nous braconnons des fantômes, tu sais que j'en ai quelques-uns que j'élèverais

Installez-vous;

tant que je suis protégé

Tu peux parier que ton secret est en sécurité avec moi

Je suis tombé et je me suis effondré

« Je n'ai jamais vou blessé personne , je n'ai jamais vou être le fils de ta ville »

Puis j'ai crié à son cœur tordu

"Je n'ai jamais voulu blesser personne... personne d'autre que toi !"

J'ai perdu mon âme à la place du grand trompeur

Des cœurs insensés ont fait échouer des plans insensés ;

Ils m'ont dit:

"Ne t'éloigne pas de chez toi, essaie de ne jamais la quitter"

Près, j'ai atterri ;

ici je vais vivre et mourir

J'ai voyagé trop loin du bord de la rivière

Mais il n'a pas fallu longtemps avant que je ne sente rien en dessous de moi

Et tout le terrain que je pensais avoir gagné m'a été enlevé

Je pensais que j'étais fort, pas assez fort, mon courage pliait

Les plans insensés ont embrassé les cœurs insensés au revoir

J'ai voyagé trop loin du bord de la rivière