Fetesque - The End

Infertile wet soil’s where it begins.

Composition.

Mud and skin.

Blessed

scavengers foraging through the thing once fetal, but not dead.

The

messengers are maggots, meat on their lips.

Roots through throat, mouth and

eyes.

Growth tears through the organic mass.

Fauna is fucking flora in the

open wide.

The oubliette, separation, abandonment.

Those are true death.

Stalk against stake will be reaped.

It bears the seed of those to be freed.

So suck and swallow it, wash it down with green fluid.

That aftertast e is

life.

So soft to the touch, in the afterbirth they fell in upon themselves.

When absence takes the young away, don’t just stop.

Use what’s left to

rebuild from the ground up, and it will be.

Inside those proteins.

A renewed

life being released with bile’s ease from the germinated seed.

We reaped and

fed.

Ingesting them and then loved and bred, remade them in out image.

Then

dug holes that hid all our secrets.

Un sol humide infertile est là où ça commence.

Composition.

Boue et peau.

Béni

charognards fouillant à travers la chose une fois fœtale, mais pas morte.

Le

les messagers sont des asticots, de la viande sur leurs lèvres.

Des racines à travers la gorge, la bouche et

les yeux.

La croissance déchire la masse organique.

La faune est une putain de flore dans le

grand ouvert.

L'oubliette, la séparation, l'abandon.

C'est la vraie mort.

La tige contre le pieu sera récoltée.

Il porte la semence de ceux à être libérés.

Alors, sucez-le et avalez-le, lavez-le avec un liquide vert.

Cet arrière-goût est

la vie.

Si doux au toucher qu'ils sont tombés sur eux-mêmes après la naissance.

Quand l'absence éloigne les jeunes, ne vous arrêtez pas.

Utilisez ce qui reste pour

reconstruisez à partir de zéro, et ce sera le cas.

À l'intérieur de ces protéines.

Un renouvelé

la vie étant libérée avec la facilité de la bile de la graine germée.

Nous avons récolté et

nourris.

Les ingérer, puis les aimer et les élever, les recréer à notre image.

Puis

creusé des trous qui cachaient tous nos secrets.