If I Ever Get to Saginaw Again - The Monkees

If I ever get to Saginaw again

A locale that’s somewhat off the beaten track

Get to see the girl I never saw again

Who must know why I have never ventured back

We we young

And so alive

And now I wonder if she’d cling to me

Become my very own as she did then

If I ever get to Saginaw again

If I ever get to Saginaw again

It won’t be in Spring with meadows turning green

It won’t be to tangle with the law again

And it won’t be with someone one only seventeen

Who gave her love

And made me hers

And when you find the one you’re dreaming of

Who thinks to ask, «How old is love?»

Not «when»

You may never get to Saginaw again

If I ever get to Saginaw again

I will get to see son who bears my name

And perhaps I’ll quietly withdraw again

When I see the little man that he became

And how I yearn

To watch him grow

A father’s love is maybe all it takes

To not repeat those sad mistakes of men

If I ever get to Saginaw again

Si jamais je reviens à Saginaw

Un lieu un peu hors des sentiers battus

Revoir la fille que je n'ai jamais revue

Qui doit savoir pourquoi je ne me suis jamais aventuré en arrière

Nous nous jeunes

Et tellement vivant

Et maintenant je me demande si elle s'accrocherait à moi

Devenir moi-même comme elle l'a fait alors

Si jamais je reviens à Saginaw

Si jamais je reviens à Saginaw

Ce ne sera pas au printemps avec les prés qui verdissent

Ce ne sera pas pour s'emmêler à nouveau avec la loi

Et ce ne sera pas avec quelqu'un de dix-sept ans

Qui lui a donné l'amour

Et m'a fait sienne

Et quand tu trouves celui dont tu rêves

Qui pense à demander : "Quel âge a l'amour ?"

Pas "quand"

Vous ne pourrez plus jamais revenir à Saginaw

Si jamais je reviens à Saginaw

Je verrai mon fils qui porte mon nom

Et peut-être que je me retirerai tranquillement à nouveau

Quand je vois le petit homme qu'il est devenu

Et comment j'aspire

Pour le regarder grandir

L'amour d'un père est peut-être tout ce qu'il faut

Pour ne pas répéter ces tristes erreurs des hommes

Si jamais je reviens à Saginaw