Voici les paroles de la chanson : Let's Make My First Accident My Last , artiste : The Morning Of Avec traduction
Texte original avec traduction
The Morning Of
Take those times in your car when you’d be dressed to kill on the way to see
the stars held in your palm but never let out for me to view and replace them
with that night out on your porch.
This time I’m dressed to kill and we’re
killing time wishing it was each other.
And if I had a dime for every time I felt less potent then a piece of dust
collecting on my picture which lies face down (Set your ice on this road.
Turn your headlights ablast.
Let’s make my first accident my last.) on desolate shelf in your room,
I’d be rich and wishing that you won’t be home soon.
Move to the other coast 3, 000 miles away and then I’ll sing so you know I’m
making my way across these purple moutain majesties, torch in hand ready to
burn these amber waves of distain.
Still hung over from the present and the past.
Intoxication never lasts.
All good things in life come to an end.
And those experiences worth reliving are now eyes wide shut.
They’re eyes wide
shut.
It silently screams to me, this unanswered question;
Was it fact or was it fiction?
Was it fiction?
Prenez ces moments dans votre voiture où vous seriez habillé pour tuer sur le chemin pour voir
les étoiles tenues dans ta paume mais jamais laissées pour que je les regarde et les remplace
avec cette soirée sur votre porche.
Cette fois, je suis habillé pour tuer et nous sommes
tuer le temps en souhaitant que ce soit l'un l'autre.
Et si j'avais un centime à chaque fois que je me sentais moins puissant, alors un morceau de poussière
collecte sur mon image qui se trouve face vers le bas (Placez votre glace sur cette route.
Allumez vos phares à fond.
Faisons de mon premier accident mon dernier.) sur une étagère désolée dans votre chambre,
Je serais riche et souhaiterais que tu ne sois pas bientôt à la maison.
Déplacez-vous vers l'autre côte à 3 000 milles et ensuite je chanterai pour que vous sachiez que je suis
me frayer un chemin à travers ces majestés mauves des montagnes, une torche à la main prête à
brûle ces vagues ambrées de détain.
Toujours suspendu au présent et au passé.
L'ivresse ne dure jamais.
Toutes les bonnes choses de la vie ont une fin.
Et ces expériences qui valent la peine d'être revécues sont maintenant les yeux grands fermés.
Ils ont les yeux écarquillés
fermer.
Elle me crie silencieusement, cette question sans réponse ;
Était-ce un fait ou était-ce une fiction ?
Était-ce de la fiction ?
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