Racing With a Beating Heart - The Parlor Mob

If everyone was looking with the past held like a gun

Waiting for the wind to blow

Drunk with expectations of the stars and setting sun

How much could they really know

Facing through the stares and finding you to figure it out

Resting with the ocean in a wildflower dream

The sand (seas) every feeling swell

In the night the waves a movie screen, the yellow moon, the guillotine

Falling for a tale to tell

Arrows of the after daring through dawn

Racing with a beating heart I can see you were

Dancing in the palm of my hand

The tide in the tear apart

Seasons I don’t understand

Following forever maybe I can follow you home

For every tree that bares regrets its colors fail for spring

A thousand bones of memory

When leaves grow green with youthful hope the birds of promise sing

Remember how you used to be

Bearing on the wind is raging on the souls of the lost

Redeeming grace of summer rain when glass grows tall and free

So don’t delay its fading fast

Blossoms blooming proudly full of fortune ---

Nothing here supposed to last

Lightening in the sky hold everything you love racing with a beating heart

I can see you were dancing in the palm of my hands

The tide in the tear apart I can see for long

The seasons I don’t understand

Follow you forever maybe I can follow you home

Home, home

Anchored in the moment daring through the dawn

Racing with a beating heart I can see you were dancing in the palm of my hands

The tide in the tear apart I can see for long

The seasons I don’t understand

Racing with a beating heart I can see you were

Dancing in the palm of my hand

The tide in the tear apart I can’t stay for long

Seasons I don’t understand

Si tout le monde regardait avec le passé tenu comme un pistolet

En attendant que le vent souffle 

Ivre d'attentes des étoiles et du soleil couchant

Combien pourraient-ils vraiment savoir

Faire face aux regards et te trouver pour le comprendre

Se reposer avec l'océan dans un rêve de fleurs sauvages

Le sable (mers) chaque sentiment gonfle

Dans la nuit les vagues un écran de cinéma, la lune jaune, la guillotine

Craquer pour une histoire à raconter

Flèches de l'après avoir osé à travers l'aube

Courir avec un cœur battant, je peux voir que tu étais

Danser dans la paume de ma main

La marée dans la déchirure

Saisons que je ne comprends pas

Après toujours, je peux peut-être te suivre jusqu'à la maison

Pour chaque arbre qui découvre des regrets, ses couleurs échouent pour le printemps

Mille os de mémoire

Quand les feuilles deviennent vertes avec un espoir juvénile, les oiseaux de promesse chantent

Rappelez-vous comment vous étiez

Porter le vent fait rage sur les âmes des perdus

Grâce rédemptrice de la pluie d'été lorsque le verre pousse haut et libre

Alors ne retardez pas sa disparition rapide

Les fleurs s'épanouissent fièrement pleines de fortune ---

Rien ici n'est censé durer

Des éclairs dans le ciel tiennent tout ce que vous aimez courir avec un cœur battant

Je peux voir que tu dansais dans la paume de mes mains

La marée dans la déchirure que je peux voir longtemps

Les saisons que je ne comprends pas

Te suivre pour toujours peut-être que je peux te suivre jusqu'à la maison

Maison Maison

Ancré dans l'instant audacieux à l'aube

Courant avec un cœur battant, je peux voir que tu dansais dans la paume de mes mains

La marée dans la déchirure que je peux voir longtemps

Les saisons que je ne comprends pas

Courir avec un cœur battant, je peux voir que tu étais

Danser dans la paume de ma main

La marée dans la déchirure, je ne peux pas rester longtemps

Saisons que je ne comprends pas