Radio Daze - The Roots, Blu, P.O.R.N.

And the radio daze kept us in the dark

And the satellite age brings us to the light

Some feeling the pinch, some feeling the bite

They ain’t ready to talk, they’re ready to fight

Never leave you alone (Never, I never leave you alone)

(Never, I never leave you alone)

Never leave you alone (Never, I never leave you alone)

(Never, I never leave you alone)

Yo, so what you searching for?

From birth, born hurting and yearning for certain somethings

Lurking and murk 'em, got 'em turning this

Bed into a coffin, burning over passions in this passion

Or more or less over what the pastor passed us

Cause see, the past tense, it never really passes

Phases that trap us and cage us like classes

Fogging my glasses, lost in a mass mess

Taskless dilemma to match somebody’s status

And I’m average as fuck, no car cats gassing me up

Passing bucks like a casual blunt

Granted, hustling habits on the stump of a mansion

While bums pass, asking for a buck for some bagged bricks

Bad shit going down on the daily

While bad chicks pass in a Mercedes, damn

They see he’s the bastard for chasing them

Maybe it’s the patterns that make me that made me, crazy

And the radio daze kept us in the dark

And the satellite age brings us to the light

Some feeling the pitch, some feeling the bite

They ain’t ready to talk, they’re ready to fight

Never leave you alone (Never, I never leave you alone)

(Never, I never leave you alone)

Never leave you alone (Never, I never leave you alone)

(Never, I never leave you alone)

Life is fiction, competition and contradiction

Petty perceptions, window dressing for misdirection

Love is a lotto, I know I know you know what I know

Hope is so hollow, that’s why winos follow the bottle

And people pressure, make death a hidden treasure

A guilty pleasure, lonely language inside a letter

It’s now or never, move it, move it, love it or lose it

'Fore it’s recruited, then included in something stupid

It’s things of nature, paid a player and say your prayers

Naysayers, the haters, the major players, the beggars

You 'bout it, 'bout it, don’t allow it to pow without it

Then those who doubt it, doomed to die the death of cowards

The world is yours, and the world we can’t afford

So ignore the law, start a fire then start a war

If you’re sick and tired of your access denied

Free will died long before blogs and iPod

And the radio daze kept us in the dark

And the satellite age brings us to the light

Some feeling the pitch, some feeling the bite

They ain’t ready to talk, they’re ready to fight

Never leave you alone (Never, I never leave you alone)

(Never, I never leave you alone)

Never leave you alone (Never, I never leave you alone)

(Never, I never leave you alone)

Yo, it’s too much strain for nominal gain

I’m going through things;

headaches, abdominal pain

Tryna numb it with that Ketel like I’m from the Ukraine

Check the blue flame, lighter running out of butane

What’s up with my destructive urge that’s unproductive

Choices I’m stuck with, now starting to fuck with

Contaminating family and close friends

Telling me to stop burning the candle at both ends

Ain’t like I’m on a coke binge, hanging in dope dens

Or life is just a pool of Patron I’m soaked in

The darker the covenant slash trainwreck for you to rubberneck

You ain’t felt the true pain yet so you be loving that

Hit me up at black.gov like the government

Banana Republican, alien intelligence

Kill switch, real pissed, thinking of some ill shit

The stone the builder refused, he need to build with

Got immunized for both flus, I’m still sick

Via satellite, radio, the realness

And the radio daze kept us in the dark

And the satellite age brings us to the light

Some feeling the pitch, some feeling the bite

They ain’t ready to talk, they’re ready to fight

And the radio daze

And the radio daze

And the radio daze

Et l'étourdissement de la radio nous a gardé dans le noir

Et l'ère des satellites nous amène à la lumière

Certains ressentent le pincement, certains ressentent la morsure

Ils ne sont pas prêts à parler, ils sont prêts à se battre

Ne te laisse jamais seul (Jamais, je ne te laisse jamais seul)

(Jamais, je ne te laisse jamais seul)

Ne te laisse jamais seul (Jamais, je ne te laisse jamais seul)

(Jamais, je ne te laisse jamais seul)

Yo, alors qu'est-ce que tu cherches ?

Dès la naissance, né blessé et aspirant à certains quelque chose

Les rôder et les obscurcir, les faire tourner ça

Lit dans un cercueil, brûlant des passions dans cette passion

Ou plus ou moins sur ce que le pasteur nous a transmis

Parce que tu vois, le passé, ça ne passe jamais vraiment

Des phases qui nous piègent et nous emprisonnent comme des classes

Embuer mes lunettes, perdu dans un désordre de masse

Dilemme sans tâche pour correspondre au statut de quelqu'un

Et je suis moyen comme putain, pas de chats de voiture qui me gazent

Passer de l'argent comme un blunt occasionnel

Certes, des habitudes bousculantes sur la souche d'un manoir

Pendant que les clochards passent, demander un dollar pour des briques ensachées

Mauvaise merde qui se passe tous les jours

Pendant que les mauvaises meufs passent dans une Mercedes, putain

Ils voient qu'il est le bâtard pour les chasser

Peut-être que ce sont les schémas qui me rendent qui m'ont rendu fou

Et l'étourdissement de la radio nous a gardé dans le noir

Et l'ère des satellites nous amène à la lumière

Certains ressentent le pitch, certains ressentent la morsure

Ils ne sont pas prêts à parler, ils sont prêts à se battre

Ne te laisse jamais seul (Jamais, je ne te laisse jamais seul)

(Jamais, je ne te laisse jamais seul)

Ne te laisse jamais seul (Jamais, je ne te laisse jamais seul)

(Jamais, je ne te laisse jamais seul)

La vie est fiction, compétition et contradiction

Perceptions mesquines, habillage de fenêtre pour une mauvaise direction

L'amour est un loto, je sais que je sais que tu sais ce que je sais

L'espoir est si creux, c'est pourquoi les vins suivent la bouteille

Et les gens font pression, font de la mort un trésor caché

Un plaisir coupable, un langage solitaire dans une lettre

C'est maintenant ou jamais, bouge-le, bouge-le, aime-le ou perds-le

'Avant qu'il soit recruté, puis inclus dans quelque chose de stupide

Ce sont des choses de la nature, payez un joueur et dites vos prières

Les opposants, les haineux, les grands joueurs, les mendiants

Tu es à bout, à bout, ne le laisse pas exploser sans ça

Alors ceux qui en doutent, condamnés à mourir de la mort de lâches

Le monde est à vous, et le monde que nous ne pouvons pas nous permettre

Alors ignorez la loi, allumez un incendie puis déclenchez une guerre

Si vous en avez marre que votre accès soit refusé

Le libre arbitre est mort bien avant les blogs et l'iPod

Et l'étourdissement de la radio nous a gardé dans le noir

Et l'ère des satellites nous amène à la lumière

Certains ressentent le pitch, certains ressentent la morsure

Ils ne sont pas prêts à parler, ils sont prêts à se battre

Ne te laisse jamais seul (Jamais, je ne te laisse jamais seul)

(Jamais, je ne te laisse jamais seul)

Ne te laisse jamais seul (Jamais, je ne te laisse jamais seul)

(Jamais, je ne te laisse jamais seul)

Yo, c'est trop de tension pour un gain nominal

je traverse des choses;

maux de tête, douleurs abdominales

Tryna l'engourdit avec ce Ketel comme si je venais d'Ukraine

Vérifiez la flamme bleue, le briquet est à court de butane

Qu'est-ce qui se passe avec mon envie destructrice qui est improductive

Des choix avec lesquels je suis coincé, je commence maintenant à baiser avec

Contaminer la famille et les amis proches

Me disant d'arrêter de brûler la bougie par les deux bouts

Ce n'est pas comme si j'étais sur une frénésie de coke, suspendu dans des repaires de drogue

Ou la vie n'est qu'un bassin de mécènes dans lequel je suis trempé

Plus le naufrage du covenant slash est sombre pour vous

Tu n'as pas encore ressenti la vraie douleur alors tu aimes ça

Frappez-moi sur black.gov comme le gouvernement

Banana Republican, renseignement extraterrestre

Kill switch, vraiment énervé, pensant à une mauvaise merde

La pierre que le constructeur a refusée, il a besoin de construire avec

J'ai été vacciné contre les deux grippes, je suis toujours malade

Par satellite, radio, la réalité

Et l'étourdissement de la radio nous a gardé dans le noir

Et l'ère des satellites nous amène à la lumière

Certains ressentent le pitch, certains ressentent la morsure

Ils ne sont pas prêts à parler, ils sont prêts à se battre

Et l'étourdissement radio

Et l'étourdissement radio

Et l'étourdissement radio