Voici les paroles de la chanson : Rivers , artiste : The Tallest Man On Earth Avec traduction
Texte original avec traduction
The Tallest Man On Earth
So there’s longing in the shoulders now
There was a wildness in that time
Can’t we now say
Oh sweet were the hours
But hours to find
There was no way to live in simple dreams
There was no straightness to our line
Gravel in hand
Darling, we’re moving the mountains around
This is the fire of leaving pains
When the love is gone, but the need remains
Into the shivering cold of day
When the house is gone, but the street remain
Oh I guess it’s true
I guess these rivers never knew
And so finally the night time comes
There is no lot to cast a blame
No need to hide
No fear who I’d meet
In some grocery lane
This is the fire of leaving pains
When the love is gone, but the need remains
Into the shivering cold of day
When the house is gone, but the street remain
Oh I guess it’s true
I guess these rivers never knew
And I’ll sing of seasons til you turn me off
I see the way of letting go
They’ll be the same
And whatever changes
These changes I know
This is the fire of leaving pains
When we’re not that strong and the need remains
Into the shivering lights of day
When the house is gone, but the fields remain
Oh I guess it’s true
I guess these rivers never knew
Donc il y a du désir dans les épaules maintenant
Il y avait une sauvage à cette époque
Ne pouvons-nous pas dire maintenant
Oh douces étaient les heures
Mais des heures pour trouver
Il n'y avait aucun moyen de vivre dans des rêves simples
Il n'y avait aucune rectitude dans notre ligne
Gravier à la main
Chérie, nous déplaçons les montagnes
C'est le feu des douleurs de départ
Quand l'amour est parti, mais que le besoin demeure
Dans le froid glacial du jour
Quand la maison est partie, mais la rue reste
Oh je suppose que c'est vrai
Je suppose que ces rivières n'ont jamais su
Et donc finalement la nuit arrive
Il n'y a pas beaucoup à jeter un blâme
Pas besoin de se cacher
Je n'ai pas peur de qui je rencontrerais
Dans une épicerie
C'est le feu des douleurs de départ
Quand l'amour est parti, mais que le besoin demeure
Dans le froid glacial du jour
Quand la maison est partie, mais la rue reste
Oh je suppose que c'est vrai
Je suppose que ces rivières n'ont jamais su
Et je chanterai les saisons jusqu'à ce que tu m'éteignes
Je vois le moyen de lâcher prise
Ce seront les mêmes
Et quoi que change
Je connais ces changements
C'est le feu des douleurs de départ
Quand nous ne sommes pas si forts et que le besoin demeure
Dans les lumières tremblantes du jour
Quand la maison est partie, mais que les champs restent
Oh je suppose que c'est vrai
Je suppose que ces rivières n'ont jamais su
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