Raintime - The Wolfgang Press

Disturbing the old times, the gift of science

Lots of back washing and sticks of paper

Sticks of paper lighting the way

If you find you don’t know where your going

It’s in the bush, it’s in the trees

I’m gonna run round there twice

It’s too quick, it’s too late

It’s much too quick and it’s far too late

I’m rolling away

And I’m rolling away, and I’m rolling away for the last time

And I’m hauling away, and I’m hauling away

Too many things left unsaid

And I’m rolling away, and I’m rolling away

Somebody here is talking

And I’m hauling away, and I’m hauling away

Somebody here is sober

Somebody here is older

Macbeth times 2

A lazy suit and bloody hands

Come taste your faith in every street

The sound of money just kissed me in the face

My trousers aren’t the right size

I go straight to pocket

Take one step up and back to business

My mind is closed so my body speaks

My mind is clothed, my body squeaks

And I’m rolling away, and I’m rolling away

And I’m facing my only true smile

And I’m hauling away, and I’m hauling away

Somebody there is calling

So I’m rolling away, I’m rolling away

A sound of time is talking

And I’m hauling away, and I’m hauling away

This party here is too loud

Nobody knows what clothes they’re wearing

Nobody knows which road is the white one

So here we go holding up the motion

You raise your hopes, you raise your chin

You raise your glass with nothing in it

It’s a momentary lapse, a common habit

Support your faith with this party face, and party pieces

And with their party faces, and party people

With their powdered faces

Just rolling away, just rolling away, just rolling away

Just rolling…

Raintime, raintime, raintime…

Perturber les temps anciens, le don de la science

Beaucoup de backwash et de bâtons de papier

Des bâtons de papier éclairant le chemin

Si vous vous apercevez que vous ne savez pas où vous allez

C'est dans la brousse, c'est dans les arbres

Je vais y courir deux fois

C'est trop vite, c'est trop tard

C'est beaucoup trop rapide et c'est beaucoup trop tard

je roule

Et je roule, et je roule pour la dernière fois

Et je m'éloigne, et je m'éloigne

Trop de choses non dites

Et je roule, et je roule

Quelqu'un ici parle

Et je m'éloigne, et je m'éloigne

Quelqu'un ici est sobre

Quelqu'un ici est plus âgé

Macbeth fois 2

Un costume paresseux et des mains ensanglantées

Venez goûter votre foi dans chaque rue

Le son de l'argent vient de m'embrasser au visage

Mon pantalon n'est pas à la bonne taille

Je va direct dans la poche

Faites un pas en avant et reprenez vos activités

Mon esprit est fermé donc mon corps parle

Mon esprit est vêtu, mon corps grince

Et je roule, et je roule

Et je fais face à mon seul vrai sourire

Et je m'éloigne, et je m'éloigne

Quelqu'un appelle là-bas

Alors je roule, je roule

Un son du temps parle

Et je m'éloigne, et je m'éloigne

Cette fête ici est trop bruyante

Personne ne sait quels vêtements ils portent

Personne ne sait quelle route est la blanche

Alors nous allons maintenir la motion

Tu soulèves tes espoirs, tu lèves le menton

Vous levez votre verre sans rien dedans

C'est un écart momentané, une habitude courante

Soutenez votre foi avec ce visage de fête et des pièces de fête

Et avec leurs visages de fêtards, et les fêtards

Avec leurs visages poudrés

Juste rouler, juste rouler, juste rouler

Juste rouler…

Temps de pluie, temps de pluie, temps de pluie…