Count To Ten - Tina Dickow

There are faces, there are smiles, so many teeth, too many arms and legs

And eyes and flashing buttons all around me

I’m a-watching, I’m a-breathing, I’m a-pushing, I’m a-wishing

That these walls would not be talking quite so loudly

I have burnt down once before, I’ve pulled myself up from the floor

And I am looking for a reason to stay standing

But sometimes it’s just too much, it’s not enough, it’s something else

It’s so much bigger than my head, it’s too demanding

Sometimes the fastest way to get there is to go slow

And sometimes if you wanna hold on you got to let go

I’m gonna close my eyes

And count to ten

I’m gonna close my eyes

And when I open them again

Everything will make sense to me then

I have met so many people, we’ve exchanged so many words

We’ve said it all and we’ve said nothing but it’s changed us I have known a lot of men, some were lovers, some were friends

But all together were they merely passing strangers?

They’ll control you with their silence, they’ll control you with their words

And you’ll control them with your body’s coded signals

In the wild, entangled gardens of our insecurities

We lose our heads into each other’s hidden pitfalls

Sometimes the fastest way to get there is to go slow

And sometimes if you wanna hold on you got to let go

I’m gonna close my eyes

And count to ten

I’m gonna close my eyes

And when I open them again

Everything will make sense to me then

Sometimes the fastest way to get there is to go slow

Yeah, and sometimes if you wanna hold on you have to let go

I’m gonna close my eyes

And count to ten

I’m gonna close my eyes

And when I open them again

Everything will make sense to me then

1.2.3.4.5.6.7.8.9.ten

Il y a des visages, il y a des sourires, tant de dents, trop de bras et de jambes

Et des yeux et des boutons clignotants tout autour de moi

Je regarde, je respire, je pousse, je souhaite

Que ces murs ne parleraient pas si fort

J'ai déjà brûlé une fois, je me suis relevé du sol

Et je cherche une raison de rester debout

Mais parfois c'est trop, c'est pas assez, c'est autre chose

C'est tellement plus gros que ma tête, c'est trop exigeant

Parfois, le moyen le plus rapide d'y arriver est d'y aller lentement

Et parfois, si tu veux t'accrocher, tu dois lâcher prise

Je vais fermer les yeux

Et compter jusqu'à dix

Je vais fermer les yeux

Et quand je les rouvre

Tout aura alors un sens pour moi

J'ai rencontré tellement de gens, nous avons échangé tellement de mots

On a tout dit et on n'a rien dit mais ça nous a changé J'ai connu beaucoup d'hommes, certains étaient amants, d'autres étaient amis

Mais tous ensemble n'étaient-ils que des étrangers de passage ?

Ils te contrôleront avec leur silence, ils te contrôleront avec leurs mots

Et vous les contrôlerez avec les signaux codés de votre corps

Dans les jardins sauvages et enchevêtrés de nos insécurités

Nous perdons la tête dans les pièges cachés de l'autre

Parfois, le moyen le plus rapide d'y arriver est d'y aller lentement

Et parfois, si tu veux t'accrocher, tu dois lâcher prise

Je vais fermer les yeux

Et compter jusqu'à dix

Je vais fermer les yeux

Et quand je les rouvre

Tout aura alors un sens pour moi

Parfois, le moyen le plus rapide d'y arriver est d'y aller lentement

Ouais, et parfois si tu veux t'accrocher, tu dois lâcher prise

Je vais fermer les yeux

Et compter jusqu'à dix

Je vais fermer les yeux

Et quand je les rouvre

Tout aura alors un sens pour moi

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