Voici les paroles de la chanson : Felicità , artiste : Tiromancino Avec traduction
Texte original avec traduction
Tiromancino
Se tutte le stelle del mondo a un certo momento venissero giù
Tutta una serie di astri, di polvere bianca scaricata dal cielo
Ma il cielo senza i suoi occhi non brillerebbe più
Se tutta la gente del mondo senza nessuna ragione
Alzasse la testa e volasse su
Senza il loro casino, quel doloroso rumore
La terra, povero cuore non batterebbe più
Mi manca sempre l’elastico per tener su le mutande
Così che le mutande al momento più bello, mi vanno giù
Come un sogno finito, magari un sogno importante
Un amico tradito, anch’io sono stato tradito, ma non m’importa più
Tra il buio del cielo, le teste pelate bianche
Le nostre parole si muovono stanche, non ci capiamo più
Ma io ho voglia di parlare, di stare ad ascoltare
Di continuare a far l’asino, di comportarmi male, per poi non farlo più
Ah felicità
Su quale treno della notte viaggerai
Lo so, che passerai
Ma come sempre in fretta non ti fermi mai
Si tratterebbe di nuotare, prendendola con calma
Farsi trasportare dentro a due occhi grandi
Magari blu
E per doverli liberare
Attraversare un mare medioevale, lottare contro un drago strabico
Ma di draghi, baby, non ce ne sono più
Forse per questo i sogni sono cosi pallidi e bianchi
E rimbalzano stanchi tra le antenne lesse delle varie tv
E ci ritornano in casa portati da signori eleganti
Cessi che parlano, tutti quanti che applaudono, non ne vogliamo più
Ma se questo mondo è un mondo di cartone
Allora per essere felici basterebbe un niente
Magari una canzone, o chi lo sa
Se no sarebbe il caso di provare a chiudere gli occhi
Ma poi quando hai chiuso gli occhi, chissà cosa sarà
Ah felicità
Su quale treno della notte viaggerai
Lo so, che passerai
Ma come sempre in fretta non ti fermi mai
Si toutes les étoiles du monde tombaient à un moment donné
Toute une série d'étoiles, de poussière blanche rejetée du ciel
Mais le ciel sans ses yeux ne brillerait plus
Si tous les peuples du monde sans raison
Il leva la tête et s'envola
Sans leur gâchis, ce bruit douloureux
La terre, pauvre cœur, cesserait de battre
Il me manque toujours l'élastique pour maintenir mes sous-vêtements
Pour que la culotte au plus beau moment, je descends
Comme un rêve fini, peut-être un rêve important
Un ami trahi, moi aussi j'ai été trahi, mais je m'en fiche
Parmi l'obscurité du ciel, les têtes chauves blanches
Nos mots bougent fatigués, on ne se comprend plus
Mais je veux parler, écouter
Continuer à être un con, se comporter mal, et puis ne plus recommencer
Ah le bonheur
Dans quel train de la nuit vous voyagerez
Je sais que tu passeras
Mais comme toujours pressé tu ne t'arrêtes jamais
Il s'agirait de nager, d'y aller doucement
Laissez-vous emporter par deux grands yeux
Peut-être bleu
Et devoir les libérer
Traverser une mer médiévale, combattre un dragon loucher
Mais les dragons, bébé, il n'y en a plus
C'est peut-être pour ça que les rêves sont si pâles et blancs
Et ils rebondissent fatigués entre les antennes de lecture des différents téléviseurs
Et ils rentrent chez eux ramenés par des messieurs élégants
Arrête de parler, tout le monde applaudit, on n'en veut plus
Mais si ce monde est un monde en carton
Alors rien ne suffirait pour être heureux
Peut-être une chanson, ou qui sait
Sinon ça vaudrait la peine d'essayer de fermer les yeux
Mais alors quand tu fermes les yeux, qui sait ce que ce sera
Ah le bonheur
Dans quel train de la nuit vous voyagerez
Je sais que tu passeras
Mais comme toujours pressé tu ne t'arrêtes jamais
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