Burning Mirror - Trophy Scars

We take a bath, we get dressed up, we hit the club for a dance, we shake some

hands, get back in my car, we’re both on the road by10

I watch the moon turn red, I crank some early Zep, I hear your laughter dawdle

behind me, I feel your sick breath on my neck

You hurt me, yeah you did

I bite my tongue, I fix my tie, adjusting my eyes to the moon.

Every shadow now

perfectly gaping, dressing your face like a wound

Coveting life as a wolf, hopelessly selfish alone.

Without your barrel under my

chin, I take a good look at your throat

I’m gonna hurt you, yeah I will

I slam my foot on the brakes going eighty, every vacant behind us exploding

I lift your face off the dash, you gurgle and spit then you ask

«Am I the monster you fear in your nightmares or is it the poltergeist seen in

your mirror?»

All I can do is laugh for all the youth that we had

I pull the car off the road, I pull you out the window

I drag you through the rugged stones, I hear the cruel snaps in your bones

I ask you if you ever loved me, all you say is «Please.»

That’s not what I want, that’s not what you’ll get, I cry while you beg on your

knees

I can’t forgive you, you won’t forgive me

Baby I thought this was it, I thought we’d be better than this

I thought about moonlighting gangsters, some Bonnie and Clyde type of shit

Awful antics aside, I’m choosing a suicide

Gripping my legs, my tears in your hair, I feel our smug faith rob us blind

It’s not what I wanted but it’s what we deserve

Every angel, in every tear drop, every little ghost that we drank

Screaming for a brief conclusion, a massive plate of blood that we are

We used to think we were young but now all we are are wolves

We had it coming, with our eager stomachs, I ruined us both over love

Depart from the horror-filled nightmares of blood we spilled, our souls we gave

to the wind

Depart from the qeres root, your business and leisure suit;

turn all your fears

to the wind

Scream «Save me, I’m cold.»

Depart from the youth we build on summers and horror films, give up our bones

to the wind

Depart from our endlessness, our friendly unfriendliness;

embers blown out in

the wind

If we got 'em, save our souls

On prend un bain, on s'habille, on va danser en boîte, on secoue

mains, remonte dans ma voiture, nous sommes tous les deux sur la route à 10 heures

Je regarde la lune devenir rouge, je lance un Zep précoce, j'entends ton rire traîner

derrière moi, je sens ton haleine malade sur mon cou

Tu m'as blessé, ouais tu l'as fait

Je mords ma langue, j'arrange ma cravate, ajustant mes yeux à la lune.

Chaque ombre maintenant

parfaitement béant, habillant ton visage comme une plaie

Convoiter la vie comme un loup, désespérément égoïste seul.

Sans ton tonneau sous mon

menton, je regarde bien ta gorge

Je vais te faire du mal, ouais je vais le faire

Je claque mon pied sur les freins à quatre-vingts, chaque vide derrière nous explose

Je soulève ton visage du tableau de bord, tu gargouille et crache puis tu demandes

"Suis-je le monstre que tu crains dans tes cauchemars ou est-ce le poltergeist vu dans

votre miroir?»

Tout ce que je peux faire, c'est rire pour tous les jeunes que nous avons eus

Je tire la voiture de la route, je te tire par la fenêtre

Je te traîne à travers les pierres rugueuses, j'entends les craquements cruels dans tes os

Je vous demande si vous m'avez déjà aimé, tout ce que vous dites est « S'il vous plaît ».

Ce n'est pas ce que je veux, ce n'est pas ce que vous obtiendrez, je pleure pendant que vous mendiez votre

les genoux

Je ne peux pas te pardonner, tu ne me pardonneras pas

Bébé, je pensais que c'était ça, je pensais que nous serions mieux que ça

J'ai pensé aux gangsters au noir, à des conneries à la Bonnie et Clyde

Horrible bouffonneries mises à part, je choisis un suicide

Saisissant mes jambes, mes larmes dans tes cheveux, je sens notre foi suffisante nous voler à l'aveuglette

Ce n'est pas ce que je voulais mais c'est ce que nous méritons

Chaque ange, dans chaque larme, chaque petit fantôme que nous avons bu

Crier pour une brève conclusion, une énorme plaque de sang que nous sommes

Nous pensions que nous étions jeunes, mais maintenant nous ne sommes que des loups

Nous l'avions venu, avec nos estomacs impatients, je nous ruissions tous les deux à cause de l'amour

Éloignez-vous des cauchemars remplis d'horreur du sang que nous avons versé, de nos âmes que nous avons données

au vent

Partez de la racine qeres, votre costume d'affaires et de loisirs;

transforme toutes tes peurs

au vent

Crier "Sauve-moi, j'ai froid."

Quittez la jeunesse que nous construisons sur les étés et les films d'horreur, abandonnez nos os

au vent

Eloignez-vous de notre infinité, de notre amicale inamabilité ;

braises soufflées dans

le vent

Si nous les avons, sauvez nos âmes