Rushing Through Me - Urthboy, Bertie Blackman

Take your places, dinner’s served

Poets and painters, musicians, there they were

There’s Pinot Gris or Merlot

Whatever you prefer

Lovers and sinners and innocent others

Oils and inks and the mixing of colours (come on)

House they called Heide, the things you discover

Different if you’re over or under the covers

(Come on down) You let the breeze clear the air

(Say what, say what) The food is getting cold, I couldn’t care

Your fingers running through your hair

Underneath the table I can feel the brushing of our legs

The chattering of voices, the cutlery is tapping

If we drink enough than maybe it will happen, I’m feeling tipsy

And for something risky, a nervous rush of pleasure

I’m ravaged by the pressure

Rushing through me, yeah

Rushing through me, yeah

Use me, touch me, you don’t have to trust me

I don’t really care if it’s wrong, no

Quickly, hurry up and take me

I don’t really care if it’s wrong, no

Faded lipstick on the glass, okay top me up

Lavender that’s in the vase, delicately cut

Across the table from my past, unruly passenger

Will someone calm my fucking heart

Cause it keeps speeding up

Every time the door is opened, the candlelight is wavy

The windows fogging up, it’s hazy, the air is crazy

Below the chairs our feet are touching but neither pulls away

The pots are clanging in the kitchen, we’re a thousand miles away

Then someone yells 'what are you two up to?'

And I think

Trying to be world famous twenty years after we’re dead, 'I'll drink

To that' he said, you got up and left and had a cigarette

This single-minded lust had consequences I ain’t figured yet

Maybe it’s the red but the room is spinning around

And all the colours come to life the shadows that they’re bringing out

I’ll join you in that darkest night, dreaming of us laying down

Blind to every thought except you’re

Rushing through me, yeah

Rushing through me, yeah

Use me, touch me, you don’t have to trust me

I don’t really care if it’s wrong, no

Quickly, hurry up and take me

I don’t really care if it’s wrong, no

Use me, touch me, you don’t have to trust me

I don’t really care if it’s wrong, no

Quickly, hurry up and take me

I don’t really care if it’s wrong, no

Prenez vos places, le dîner est servi

Poètes et peintres, musiciens, ils étaient là

Il y a du pinot gris ou du merlot

Ce que tu préfères

Amoureux et pécheurs et autres innocents

Huiles et encres et mélange de couleurs (allez)

Maison qu'ils appelaient Heide, les choses que tu découvres

Différent si vous êtes au-dessus ou sous les couvertures

(Viens) Tu laisses la brise purifier l'air

(Dis quoi, dis quoi) La nourriture devient froide, je m'en fiche

Tes doigts parcourant tes cheveux

Sous la table, je peux sentir le frôlement de nos jambes

Le claquement de voix, les couverts tapent

Si nous buvons suffisamment, cela arrivera peut-être, je me sens pompette

Et pour quelque chose de risqué, une poussée nerveuse de plaisir

Je suis ravagé par la pression

Se précipitant à travers moi, ouais

Se précipitant à travers moi, ouais

Utilise-moi, touche-moi, tu n'as pas à me faire confiance

Je m'en fous si c'est mal, non

Vite, dépêche-toi et emmène-moi

Je m'en fous si c'est mal, non

Rouge à lèvres fané sur le verre, d'accord, rechargez-moi

Lavande qui est dans le vase, délicatement coupée

De l'autre côté de la table de mon passé, passager indiscipliné

Est-ce que quelqu'un calmera mon putain de cœur

Parce que ça continue d'accélérer

Chaque fois que la porte est ouverte, la lumière des bougies est ondulée

Les vitres s'embuent, c'est brumeux, l'air est fou

Sous les chaises nos pieds se touchent mais aucun ne s'éloigne

Les casseroles claquent dans la cuisine, on est à des milliers de kilomètres

Puis quelqu'un crie "Qu'est-ce que vous faites tous les deux ?"

Et je pense

Essayer d'être mondialement connu vingt ans après notre mort, je boirai

Pour cela, a-t-il dit, tu t'es levé et tu es parti et tu as fumé une cigarette

Ce désir obstiné a eu des conséquences que je n'ai pas encore imaginées

C'est peut-être le rouge, mais la pièce tourne en rond

Et toutes les couleurs prennent vie les ombres qu'elles font ressortir

Je te rejoindrai dans cette nuit la plus sombre, rêvant de nous allongés

Aveugle à toutes les pensées sauf que vous êtes

Se précipitant à travers moi, ouais

Se précipitant à travers moi, ouais

Utilise-moi, touche-moi, tu n'as pas à me faire confiance

Je m'en fous si c'est mal, non

Vite, dépêche-toi et emmène-moi

Je m'en fous si c'est mal, non

Utilise-moi, touche-moi, tu n'as pas à me faire confiance

Je m'en fous si c'est mal, non

Vite, dépêche-toi et emmène-moi

Je m'en fous si c'est mal, non