The Argus - Ween

Yesterday we lost our lives, tomorrow we were born

Fortune smiled upon us, sacrifice the Argus

All that he might help us see

Magna eyes the track for miles, looking for disease

Puzzled by the mountains — tricked by the sea

and the Argus is practiced compassion

with an eye on you, as one is on me

will the god eye grant his forgiveness

and allow he that’s lived, a reason to see

Counting days and building walls, bells ring so’s to warn

All the signs that guide us, chosen by the Argus

Tell me has chosen you

Led by form we’ll shed our soul

Trusting like a child

See the dark face that saved us Drink from his empty eyes

and the Argus is practiced compassion

with an eye on you, as one is on me

will the god eye grant his forgiveness

letting droplets of light erupt from the sea…

Lying in beds of garlic and orchids, he closes an eye, which closes another

and in sleep he dreams, of watching and looking and feather clouds dancing

He curls up his lid and sleeps…

Swirling with visions on man’s confusion

All of the work, done just to appease him

The Argus he cries, though love has it’s place in the sun

It’s only man’s fear that carries him on…

Hier nous avons perdu la vie, demain nous sommes nés

La fortune nous a souri, sacrifiez l'Argus

Tout ce qu'il pourrait nous aider à voir

Magna regarde la piste sur des kilomètres, à la recherche d'une maladie

Intrigué par les montagnes - trompé par la mer

et l'Argus est la compassion pratiquée

avec un œil sur toi, comme on est sur moi

l'œil divin accordera-t-il son pardon

et accorde à celui qui a vécu, une raison de voir

Compter les jours et construire des murs, les cloches sonnent, c'est pour avertir

Tous les signes qui nous guident, choisis par l'Argus

Dis-moi t'a choisi

Guidés par la forme, nous perdrons notre âme

Faire confiance comme un enfant

Voir le visage sombre qui nous a sauvé Boire à ses yeux vides

et l'Argus est la compassion pratiquée

avec un œil sur toi, comme on est sur moi

l'œil divin accordera-t-il son pardon

laisser jaillir des gouttelettes de lumière de la mer…

Couché dans des parterres d'ail et d'orchidées, il ferme un œil, qui en ferme un autre

et pendant son sommeil, il rêve de regarder et de regarder et de danser des nuages ​​​​de plumes

Il retrousse sa paupière et dort…

Tourbillonnant de visions sur la confusion de l'homme

Tout le travail, fait juste pour l'apaiser

Il pleure l'Argus, bien que l'amour ait sa place au soleil

Il n'y a que la peur de l'homme qui le porte...