Sons Of Thunder - Woe of Tyrants
С переводом

Sons Of Thunder - Woe of Tyrants

Альбом
Kingdom Of Might
Год
2009
Язык
`Anglais`
Длительность
192440

Voici les paroles de la chanson : Sons Of Thunder , artiste : Woe of Tyrants Avec traduction

Paroles : Sons Of Thunder "

Texte original avec traduction

Sons Of Thunder

Woe of Tyrants

Оригинальный текст

There is no foothold here in these miry depths

Clawed fingers scraping flesh from bone

Frantic laughter bubbling throughout

Voice strained from screaming, parched and shrill

With each breath comes an influx of my waste

Beasts sovereign, circling, searching for their feast

Their mouths foaming, sensing blood in the dirty water

Its the primal craving which prevails disgust

But how did I get here?

The first of oh so many questions

Delayed are the angels melodies, ensnared in this bog

But this place is familiar

The sites, the sounds, the face of the beast

Breathing mirrors reflecting me, I share in their needs

The absence of love, abundance of filth

Left to consider the familiarity of my despair

Deprived innocence, I am deserving of this place

Entitlement, I have what I’ve chosen

The virgin weeping, blackened eyes dripping contempt

Actions and disgraces, I have many faces here

The frowning masks of the tragedy, many faces here

With one final glare my head slips under the mud

I reach, still finding nothing

Which I can grab to reach the surface again

Dimming into dark is the heart that fades away

I sink into the darkest deep

Finally I give in to the hands touch

Embracing what they say

I submit to the nightmare of the mire

Finding solace in the choice to fall into breathing

Depths, depths, depths

There is no foothold here in these miry depths

Clawed fingers scraping flesh from bone

Frantic laughter bubbling throughout

Voice strained from screaming, parched and shrill

Перевод песни

Il n'y a pas de prise ici dans ces profondeurs fangeuses

Doigts griffus grattant la chair de l'os

Des rires frénétiques bouillonnant partout

Voix tendue par les cris, desséchée et stridente

À chaque respiration vient un afflux de mes déchets

Bêtes souveraines, tournant, cherchant leur festin

Leurs bouches écumant, sentant le sang dans l'eau sale

C'est le désir primitif qui prévaut le dégoût

Mais comment suis-je arrivé ici ?

La première de tant de questions

Retardées sont les mélodies des anges, prises au piège dans cette tourbière

Mais cet endroit est familier

Les sites, les sons, le visage de la bête

Des miroirs respiratoires me reflétant, je partage leurs besoins

L'absence d'amour, l'abondance de la saleté

Laissé à considérer la familiarité de mon désespoir

Privé d'innocence, je mérite cet endroit

Droit, j'ai ce que j'ai choisi

La vierge pleurant, les yeux noircis dégoulinant de mépris

Actions et disgrâces, j'ai plusieurs visages ici

Les masques renfrognés de la tragédie, de nombreux visages ici

Avec un dernier regard, ma tête glisse sous la boue

J'atteins, je ne trouve toujours rien

Que je peux saisir pour atteindre à nouveau la surface

S'obscurcir dans l'obscurité est le cœur qui s'efface

Je m'enfonce dans les profondeurs les plus sombres

Enfin je cède au toucher des mains

Embrasser ce qu'ils disent

Je me soumets au cauchemar de la fange

Trouver du réconfort dans le choix de tomber dans la respiration

Profondeurs, profondeurs, profondeurs

Il n'y a pas de prise ici dans ces profondeurs fangeuses

Doigts griffus grattant la chair de l'os

Des rires frénétiques bouillonnant partout

Voix tendue par les cris, desséchée et stridente

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