Empire of Sorrows - Your Favorite Enemies

Empire of sorrows, as if for everyone, I grew up in a storm

Good fortune teller’s spell, a stranger in a land, ripped from all its

firstborn sons

Turned shadows into dark, ghosts of hopeless morning screams

The flows of underground, way too bright to be seen, in a darkness of my own

In a darkness of my own

In a darkness of my own, I can see a thousand cranes

Like neon bridal sparks are feeding old whispers

I’m covering love with shame, like a sun in smoking waves

I dressed up faith with lies and confessed make-believes

As the tide keeps blooming high, as the tide…

As the tide keeps blooming high

Shining waters blaze like evil flowers grow

The city is a mess, reflection of the sky

We’re glowing in the streets, like shamans' rituals

All dressed up as widows, all dressed up as widows

Looking for anywhere

Looking for anywhere but here

Looking for anywhere but here

Looking for anywhere but here, looking for anywhere

Looking for anywhere but here, looking for anywhere

Looking for anywhere but here, looking for anywhere

Looking for anywhere but here, looking for anywhere

If it’s the end of time, if it’s new morning shade

The colors running dry, our senses losing frame

As if love needed sight to promise company

As long as there is light, I guess no more shall we part

In a darkness of my own, in a darkness of my own

Is there anything more

Is there any safe home to lay down

To lay down, anywhere

To lay down

Is there anything more

Is there any place home to lay down

To lay down, to lay down, to lay down anywhere

Is there anything more

Is there anything more, any place to lay down

To lay down, to lay down, to lay down, to lay down

To lay down, to lay down, to lay down

Anywhere

Looking for anywhere but here (looking for anywhere)

Looking for anywhere but here (looking for anywhere)

Looking for anywhere but here (looking for anywhere)

Looking for anywhere but here (looking for anywhere)

Looking for anywhere but here (looking for anywhere)

Looking for anywhere but here (looking for anywhere)

Looking for anywhere but here (looking for anywhere)

Empire of sorrows, as if for everyone, I grew up in a storm

Good fortune teller’s spell, a stranger in a land, ripped from all its

firstborn sons

Turned shadows into dark, ghosts of hopeless morning screams

The flows of underground, way too bright to be seen

In a darkness of my own, in a darkness of my own

As the tide keeps blooming high, as the tide, as the tide

As the tide keeps blooming high, as the tide, as the tide

As the tide keeps blooming high, as the tide

As the tide keeps blooming high, as the tide

Looking for anywhere but here

Empire des douleurs, comme pour tout le monde, j'ai grandi dans une tempête

Le sort du diseur de bonne aventure, un étranger dans un pays, arraché de tous ses

fils premiers-nés

A transformé les ombres en ténèbres, les fantômes des cris matinaux sans espoir

Les flux du sous-sol, bien trop brillants pour être vus, dans une obscurité qui m'appartient

Dans une obscurité qui m'appartient

Dans l'obscurité qui m'appartient, je peux voir un millier de grues

Comme des étincelles de mariée au néon nourrissant de vieux murmures

Je couvre l'amour de honte, comme un soleil dans des vagues fumantes

J'ai habillé la foi avec des mensonges et avoué des faux-semblants

Alors que la marée continue de fleurir haut, alors que la marée…

Alors que la marée continue de fleurir haut

Les eaux brillantes flamboient comme des fleurs maléfiques poussent

La ville est un gâchis, reflet du ciel

Nous brillons dans les rues, comme les rituels des chamans

Tous déguisés en veuves, tous déguisés en veuves

Chercher n'importe où

Vous cherchez n'importe où mais ici

Vous cherchez n'importe où mais ici

Cherchant n'importe où mais ici, cherchant n'importe où

Cherchant n'importe où mais ici, cherchant n'importe où

Cherchant n'importe où mais ici, cherchant n'importe où

Cherchant n'importe où mais ici, cherchant n'importe où

Si c'est la fin des temps, si c'est la nouvelle ombre du matin

Les couleurs s'assèchent, nos sens perdent leur cadre

Comme si l'amour avait besoin de la vue pour promettre de la compagnie

Tant qu'il y aura de la lumière, je suppose que nous ne nous séparerons plus

Dans une obscurité qui m'appartient, dans une obscurité qui m'appartient

Y a-t-il quelque chose de plus

Y a-t-il une maison sûre où s'allonger ?

Pour s'allonger, n'importe où

S'allonger

Y a-t-il quelque chose de plus

Y a-t-il un endroit à la maison pour s'allonger ?

S'allonger, s'allonger, s'allonger n'importe où

Y a-t-il quelque chose de plus

Y a-t-il autre chose, un endroit où s'allonger ?

S'allonger, s'allonger, s'allonger, s'allonger

S'allonger, s'allonger, s'allonger

Partout

Cherchant n'importe où sauf ici (cherchant n'importe où)

Cherchant n'importe où sauf ici (cherchant n'importe où)

Cherchant n'importe où sauf ici (cherchant n'importe où)

Cherchant n'importe où sauf ici (cherchant n'importe où)

Cherchant n'importe où sauf ici (cherchant n'importe où)

Cherchant n'importe où sauf ici (cherchant n'importe où)

Cherchant n'importe où sauf ici (cherchant n'importe où)

Empire des douleurs, comme pour tout le monde, j'ai grandi dans une tempête

Le sort du diseur de bonne aventure, un étranger dans un pays, arraché de tous ses

fils premiers-nés

A transformé les ombres en ténèbres, les fantômes des cris matinaux sans espoir

Les flux du sous-sol, bien trop brillants pour être vus

Dans une obscurité qui m'appartient, dans une obscurité qui m'appartient

Comme la marée continue de fleurir haut, comme la marée, comme la marée

Comme la marée continue de fleurir haut, comme la marée, comme la marée

Alors que la marée continue de fleurir, alors que la marée

Alors que la marée continue de fleurir, alors que la marée

Vous cherchez n'importe où mais ici