House of Ravens - Yugen Blakrok

Who knows what hides behind these gray clouds

Coercing men to bare frowns?

But even fake crowns eventually bow low to the basslines

That cover me like shelter for the homeless

From vagrant to venomous microphone pest

Pause only when my clones rest

So foot in front of foot my frame progress

Game of life and death, forced to maneuver past the grotesque

Dried maggots, gravedigger 'til nails metallic tasting

Iron bed springs, sleeping late, early waking

Bomb street corners lay bodies at the coroners

The bluebird of happiness tweeting to stiff followers

Blak summons spirits thru a male goat’s horn

Ate the cheese, be warned, I’m a spiteful woman, so don’t scorn

In the darkness, the light seeks out the target

And I’m starving for it, guerrilla styles like Darwin

With a voice like a thunder storm, this ain’t no summer breeze

This golden city’s dead like autumn leaves and Brandon Lee

And still I breathe, exhaling smog from the chest

But smoke makes my eyes bleed the colours of polluted sunsets

Perched high on my mental complex

Yugen of Crow’s Nest separating severed heads from bloody necks

Knowing the light, I remain in the dark

Insane sparks fire me up like a rocket discharged

Making history of these carbon copycats

Protect my origins, I’m all foundations & blueprints like architects

Let me lay the plan flat like the dark ages' concept of earth

Inverted thinking, tongue spitting rhymestyles in reverse

Dodging evil and schisms my gunspeak stays eloquent

This that grindhouse shit, there’s no damsel in distress

I’m from a line of hard chickens that flex their necks

Astounding with the intellect, compulsive never miss a step

Eggheads trying to box me into cardboard cartons

I’m heartless, rip mics in the name of carnage

But this reality’s boring, I count the hours

More sick than tired kids, more thick than I was

One more hit for the downers

And climb — ethereal anti-gravity

Known to disappear like cities under the Atlantic

Still I breathe, exhaling smog from the chest

But smoke makes my eyes bleed the colours of polluted sunsets

Perched high on my mental complex

Yugen of Crow’s Nest separating severed heads from bloody necks

Qui sait ce qui se cache derrière ces nuages ​​gris

Contraignant les hommes à froncer les sourcils ?

Mais même les fausses couronnes finissent par s'incliner devant les lignes de basse

Qui me couvre comme un refuge pour les sans-abri

Du parasite vagabond au micro nuisible venimeux

Mettre en pause uniquement lorsque mes clones se reposent

Alors pied devant le pied, mon cadre progresse

Jeu de vie et de mort, obligé de manœuvrer devant le grotesque

Asticots séchés, dégustation métallique du fossoyeur jusqu'aux ongles

Ressorts de lit en fer, dormir tard, se réveiller tôt

Les coins des rues bombardés déposent des corps chez les coroners

L'oiseau bleu du bonheur tweetant à des abonnés rigides

Blak invoque les esprits à travers la corne d'un bouc

J'ai mangé du fromage, soyez prévenu, je suis une femme méchante, alors ne méprisez pas

Dans l'obscurité, la lumière cherche la cible

Et j'en ai faim, des styles de guérilla comme Darwin

Avec une voix comme un orage, ce n'est pas une brise d'été

Cette ville dorée est morte comme les feuilles d'automne et Brandon Lee

Et je respire toujours, exhalant le smog de la poitrine

Mais la fumée fait saigner mes yeux des couleurs des couchers de soleil pollués

Perché haut sur mon complexe mental

Yugen of Crow's Nest séparant les têtes coupées des cous ensanglantés

Connaissant la lumière, je reste dans le noir

Des étincelles folles m'enflamment comme une fusée déchargée

Faire l'histoire de ces copieurs de carbone

Protégez mes origines, je suis tous des fondations et des plans comme des architectes

Laisse-moi poser le plan à plat comme le concept de la Terre à l'âge des ténèbres

Pensée inversée, rimes crachant la langue à l'envers

Esquivant le mal et les schismes, mon gunspeak reste éloquent

Cette merde de grindhouse, il n'y a pas de demoiselle en détresse

Je viens d'une lignée de poulets durs qui fléchissent le cou

Étonnant avec l'intellect, compulsif ne manque jamais une étape

Des têtes d'œuf essayant de m'enfermer dans des cartons

Je suis sans cœur, j'arrache des micros au nom du carnage

Mais cette réalité est ennuyeuse, je compte les heures

Plus d'enfants malades que fatigués, plus épais que moi

Un coup de plus pour les downers

Et grimpe - anti-gravité éthérée

Connu pour disparaître comme des villes sous l'Atlantique

Je respire toujours, exhalant le smog de la poitrine

Mais la fumée fait saigner mes yeux des couleurs des couchers de soleil pollués

Perché haut sur mon complexe mental

Yugen of Crow's Nest séparant les têtes coupées des cous ensanglantés