Гладиаторы - Злой дух, СЭТ

Как свет заденет глаз, так в тотже час, звучит приказ

Эти слова знает каждый из нас, горстка рабов, великих воинов-показывает класс!

Игры насмерть для увеселения народных масс

Сила и честь, надо суметь это сберечь

мне помогает в этом мой сияющий на солнце меч

Хочешь пожить?

Сумей обжечь, побольше тел рассечь!

Срубая головы с плеч, а слечь успеешь слеч

Я занимаюсь только тем, что каждый день сражаюсь

Обороняюсь, нападаю, в плоть мечом впиваясь

Я защищаюсь, всего лишь выжить стараюсь

не возмущаюсь, после боя к Богу обращаюсь

Молю чтоб дал мне сил, терпенья тоже просил

Наверно Бог меня не слышит, я его взбесил!

Вечером прошу пощады, днём увечу латы

Гладиатор смерть несущий-на него все взгляды!

Тело в разных шрамах, нет живого места, жизнь на радость Цезаря

Рабство в начледство, убиваешь тех, кого знал с детства

Вырываешь сердце, посыпаешь раны солью и перцем

Сколько убил?

не помню, я каждый день убиваю!

Руки в крови купаю, после отмываю, сила и честь

С этими словами бой начинаю, за свободу сражаюсь, за свободу страдаю!

ПРИПЕВ:

Лай свор безликих псов бешеных!

Боль ран, песок в глаза, бой пешек!

Звон стали верхом против пеших!

Оскал победы над стоном поверженных!

Лай свор безликих псов бешеных!

Боль ран, песок в глаза, бой пешек!

Звон стали верхом против пеших!

Оскал победы над стоном поверженных!

2 КУПЛЕТ (СЭТ):

Арена, рёв толпы, демоны, раскалённые от жары и гнева

С оружием из стали и древа, без устали с верой в победу

Бьются за жизнь свою, и тот кто выживет в этом бою

Снова увидит свою мать, родину, братьев

Будет освобождён из плена, и с этим образом

Перед глазами, они вонзают друг в друга лезвия

Бесполезно просить пощады у Цезаря

Всюду лежат тела растерзанные, отрезанные промахом пальцы рук

Облеплены мухами головы, ноги и руки

Круг, символизирующий бесконечность, онулирующий человечность

Замкнут навеки!

Для сотен доблестных воинов, казнённых на глазах у трибун

Ради потехи… Вора, крадущего честь и души

Задора толп ревущих, впредверии неравного боя гредущего

Финального боя гредущего!

Кровавого боя гредущего!!!

3 КУПЛЕТ (ДОБРЫЙ):

Где жизнь, где смерть?

где война, где честь?

Потушенных глаз, проколотых сердец не счесть…

Где под куполом неба смерть навсегда осела

Как пыль, это не сказака, а быль, бой, опять бой

Народа немеренно, пришли насладиться игрой

Стой!

Постой!Смотри!Император выводит лучших бойцов

Сыновей отважных, смертоносных отцов

Доспехи из золота, слили их задолго, для бойни

Чтоб в них сражались воины, солнце навершине, около полудня время

Выводит противников-рабское племя!

Раз-два-три-четыре-пятеро!

По ржавому мечу в руке, они спятили!

Их же разорвут в первые секунды боя!

Публика даже рта не раскроет… но это того стоит, это красиво!

Это зрелище-кровавое месиво

Тихо… гремят барабаны… публика затихла, сейчас увидит раны

Конница императорских бойцов набирает скорость

Рабы разбегаются, в спешке спотыкаются, защищаются, падают, и больше не встают

Блестящие мечи искусством протыкают!

Конница метают копья прямо в рабов

Они их протыкают насквозь, шагов десять пробегают… падают!

И умирают, не успеваешь уловить взглядом кто кого убивает

Разрубили всех, всем посрубали головы

Эти моменты для зрителей очень дороги

Публика ликует, император доволен, гладиатор на арене как смерть волен…

ПРИПЕВ:

Лай свор безликих псов бешеных!

Боль ран, песок в глаза, бой пешек!

Звон стали верхом против пеших!

Оскал победы над стоном поверженных!

Лай свор безликих псов бешеных!

Боль ран, песок в глаза, бой пешек!

Звон стали верхом против пеших!

Оскал победы над стоном поверженных!

Comme la lumière frappe l'œil, donc à la même heure, l'ordre retentit

Chacun de nous connaît ces mots, une poignée d'esclaves, de grands guerriers - montre la classe !

Jeux de mort pour le divertissement des masses

Force et honneur, il faut pouvoir le sauver

mon épée qui brille au soleil m'aide en cela

Voulez vous vivre?

Réussissez à brûler, coupez plus de corps !

Coupez la tête des épaules et vous aurez le temps de vous allonger

Tout ce que je fais c'est me battre tous les jours

Je défends, j'attaque, creusant la chair avec une épée

Je me défends, j'essaie juste de survivre

Je ne m'indigne pas, après la bataille je me tourne vers Dieu

Je prie pour qu'il m'ait donné de la force, il a aussi demandé de la patience

Dieu ne m'entend probablement pas, je l'ai énervé !

Le soir je demande miséricorde, le jour je mutilerai l'armure

Gladiateur mortifère - tous les yeux sont rivés sur lui !

Le corps est dans diverses cicatrices, il n'y a pas de lieu de vie, la vie est pour la joie de César

L'esclavage en seigneurie, tu tues ceux que tu connais depuis l'enfance

Arracher le cœur, saupoudrer les plaies de sel et de poivre

Combien de tués ?

Je ne me souviens pas, je tue tous les jours !

Je baigne mes mains dans le sang, puis les lave, force et honneur

Avec ces mots, je commence la bataille, je me bats pour la liberté, je souffre pour la liberté !

REFRAIN:

Couchez des meutes de chiens enragés sans visage !

La douleur des blessures, le sable dans les yeux, la bataille des pions !

L'acier qui sonne à contre-pied !

Le sourire de la victoire sur le gémissement du vaincu !

Couchez des meutes de chiens enragés sans visage !

La douleur des blessures, le sable dans les yeux, la bataille des pions !

L'acier qui sonne à contre-pied !

Le sourire de la victoire sur le gémissement du vaincu !

VERSET 2 (ENSEMBLE):

Arena, le rugissement de la foule, des démons, brûlants de chaleur et de colère

Avec des armes d'acier et de bois, inlassablement avec foi en la victoire

Ils se battent pour leur vie, et celui qui survit à cette bataille

Reverra sa mère, sa patrie, ses frères

Sera libéré de captivité, et avec cette image

Sous nos yeux, ils plongent des lames l'une dans l'autre

Il est inutile de demander grâce à César

Partout gisent des corps déchirés, des doigts coupés par un glissement

Têtes, jambes et bras couverts de mouches

Un cercle symbolisant l'infini, annulant l'humanité

Fermé pour toujours !

Pour des centaines de vaillants guerriers exécutés devant les gradins

Pour s'amuser... Un voleur qui vole l'honneur et les âmes

L'enthousiasme des foules rugissantes, au seuil d'une bataille inégale à venir

La bataille finale de la venue!

Combat sanglant à venir !!!

VERSET 3 (BIEN):

Où est la vie, où est la mort ?

où est la guerre, où est l'honneur ?

Les yeux éteints, les cœurs transpercés sont innombrables...

Où sous le dôme du ciel la mort s'est installée pour toujours

Comme la poussière, ce n'est pas un conte de fées, mais une histoire vraie, un combat, un autre combat

Les gens incommensurablement, viennent profiter du jeu

Arrêter!

Attends ! Regarde ! ​​L'Empereur fait sortir les meilleurs combattants

Fils de pères courageux et meurtriers

Armure en or, fusionnée il y a longtemps, pour l'abattage

Pour que les guerriers s'y battent, le soleil est au top, vers midi

Fait ressortir la tribu des adversaires-esclaves !

Un deux trois quatre cinq!

Avec une épée rouillée à la main, ils sont fous !

Ils seront déchirés dans les premières secondes de la bataille !

Le public n'ouvrira même pas la bouche... mais ça vaut le coup, c'est beau !

Ce spectacle est un gâchis sanglant

Silence ... les tambours claquent ... le public est calme, maintenant ils verront les blessures

La cavalerie des combattants impériaux gagne en vitesse

Les esclaves se dispersent, trébuchent à la hâte, se défendent, tombent et ne se relèvent plus

Des épées brillantes transpercent avec art !

La cavalerie lance des lances directement sur les esclaves

Ils les transpercent, font dix pas... tombent !

Et ils meurent, t'as pas le temps de voir qui tue qui

Ils ont coupé tout le monde, ils ont coupé la tête de tout le monde

Ces moments sont très chers aux téléspectateurs.

Le public se réjouit, l'empereur est content, le gladiateur dans l'arène est libre comme la mort...

REFRAIN:

Couchez des meutes de chiens enragés sans visage !

La douleur des blessures, le sable dans les yeux, la bataille des pions !

L'acier qui sonne à contre-pied !

Le sourire de la victoire sur le gémissement du vaincu !

Couchez des meutes de chiens enragés sans visage !

La douleur des blessures, le sable dans les yeux, la bataille des pions !

L'acier qui sonne à contre-pied !

Le sourire de la victoire sur le gémissement du vaincu !